• Une légende amusante tirée d'un livre consacré aux indiens d'Amérique du Nord…
        
    Au commencement du monde, le Grand Esprit s'appliqua à créer l'air, le soleil, les étoiles, les nuages. Puis, enfin, la terre et l'eau. Quand il voit la beauté des immenses forêts, des plaines verdoyantes et des hautes et blanches montagnes, il décide de peupler cette terre. Le Grand Esprit se met alors à modeler une pâte faite avec de la farine de maïs pour lui donner la forme d'un homme dont le corps serait un chef d'œuvre de beauté. Malheureusement, il ne sait pas très bien comment on fait cuire la pâte afin de la rendre solide et recouverte de brillantes couleurs. Il met donc la forme au four et attend un moment, puis en retire un homme beaucoup trop cuit, noir comme le charbon. Le Grand Esprit entre alors dans une grande colère et jette au loin cet homme au teint foncé, qui tombe en Afrique. Après cette première expérience, il façonne une nouvelle forme avec plus de soin encore, et surveille de très près la cuisson. Impatient, il la retire trop tôt du four, si bien qu'elle reste toute blanche; déçu, il la jette en Europe. Il tente un nouvel essai, qui ne donne qu'un homme tout jaune. Alors, il décide de faire preuve de patience et d'atteindre son but. Il fait un dernier essai, le laisse cuire à point, et obtient un homme au teint cuivré comme la brique, digne de peupler l'Amérique.


  • Des infos sur le groupe "Marie Reine de la Paix"...

        
    Le temps des difficultés (18/09/05)

    Dans mon précédent message racontant les débuts du groupe de prière "Marie Reine de la Paix" (qui a été créé le 11 août 1999), je vous ai dit que nous nous sommes très vite retrouvés 5 membres (trois jeunes et deux adultes) pour prier ensemble chaque semaine pendant environ une heure et vingt minutes.

    Si l'on rajoute à cela les gens qui nous ont fait la gentillesse de venir se joindre à nous de temps en temps (parents, amis divers...), on peut dire que notre groupe a touché une dizaine de personnes d'août 99 à avril 2000.

    Pourquoi pas après cette date, allez-vous me demander ?

    Tout simplement parce que les jeunes ont dû faire face à de petites "attaques", dans les aumôneries, et que leurs parents ont  eu vent de toute la mauvaise publicité faite autour de Medjugorje. 

    Ils ont donc préféré partir.

    C'est très dommage car GMRP s'est "cassé" (si l'on peut dire, même si le mot est trop fort) au moment même où il allait décoller et où je commençais à diffuser le premier numéro de "Chère Gospa".

    Quand les parents des jeunes m'ont dit qu'ils préféraient retirer leurs enfants et attendre que Medjugorje soit reconnu avant de s'engager plus avant dans cette spiritualité, j'avoue que je m'y attendais un peu.

    En effet, il aurait été tout à fait extraordinaire, vous en conviendrez, que les gens de Medjugorje aient à porter une lourde croix (opposition de l'évêque malgré le soutien du pape,  mensonges, calomnies...) et que nous, en France, nous ne rencontrions que des succès !

    Cela aurait vraiment été étrange !

    Moi-même, je vous l'avoue, j'ai eu à subir de vives attaques de la part de nombreux frères chrétiens, surtout au niveau professionnel car je travaille dans l'enseignement privé (et je précise que je n'ai jamais parlé de Medjugorje aux jeunes dont j'ai eu la charge mais, comme vous le savez, tout fini par se savoir, dans notre chère Mère Eglise... et mon engagement pour la Gospa n'a pas toujours été -n'est pas toujours - bien perçu !).

    C'est ainsi qu'à partir d'avril 2000, notre groupe a continué de tourner "à effectif réduit".

    Parfois à deux, parfois avec quelques amis de passage dans notre région qui connaissent bien Medjugorje et qui défendent ce lieu.

    Mais aujourd'hui encore, nous ne sommes pas parvenus à reconstituer le groupe tel qu'il était au départ.

    Toutefois, je tiens absolument à préciser une chose : le plus important, dans un groupe de prière, ce sont les progrès spirituels et non pas le nombre de participants. Ce ne sont pas non plus les difficultés.

    Les souffrances, les croix, les oppositions, les échecs, ce que l'on peut dire sur nous... tout cela, c'est toujours pour la gloire de Dieu !

    D'ailleurs, je profite de ce message pour remercier profondément la Vierge pour toutes les épreuves qu'elle m'a envoyé et qui me permettent aujourd'hui encore d'approfondir la Passion de Jésus.

    A l'instar de la voyante Vicka, je pense très sincèrement que porter sa croix est quelque chose de merveilleux !!

    Pour terminer ce deuxième message sur la petite "histoire" de GMRP, je dirais qu'il faut toujours s'efforcer d'AIMER l'Eglise d'un amour fort.

    L'aimer comme Jésus l'a aimée. C'est à dire en priant Dieu d'agir dans le coeur de celles et ceux qui détournent les autres de la Vérité, et en gardant toujours CONFIANCE.

    A aucun moment il ne faut haïr ses ennemis.

    Jésus veut que nous aimions.

    Tout le reste, il nous le donnera quand il jugera que le moment est venu.

    Voilà l'état d'esprit dans lequel je me trouve depuis avril 2000.

    A bientôt !

       

    Un temps pour prier, un temps pour apprendre, un temps pour agir (09/08/05)

    Le groupe de prière "Marie Reine de la Paix" est né le 11 août 1999, fête de la Sainte Claire et jour de la fameuse éclipse solaire (mais c'est un pur hasard du calendrier !).

    A l'époque, je connaissais Medjugorje depuis 1989 (une amie qui faisait partie des scouts de France m'avait déjà envoyé des messages de la "Gospa"; la "Dame", en croate).

    Medjugorje m'a bouleversé et, avec le temps, je dois avouer que c'est devenu le grand combat de ma vie.

    Pendant longtemps, j'ai eu  envie de créer "quelque chose" qui puisse rendre ce lieu "présent" dans ma paroisse.

    Etant donné que la Vierge, dans ses messages, insiste beaucoup pour que les chrétiens prient ensemble et qu'ils se réunissent dans des groupes, j'ai décidé de créer un groupe de prière : GMRP.

    Le premier jour, j'étais seul. Mais ce n'est pas grave. Le père Slavko Barbaric (l'ancien responsable de la paroisse de Medjugorje qui est décédé en 2000) disait toujours qu'il fallait commencer ainsi. Puis, ajoutait-il, quand une autre personne se joint à vous, le groupe est alors entièrement constitué.

    En ce qui concerne le groupe "Marie reine de la Paix", il a compté 5 personnes (2 adultes et 3 jeunes) dès la troisième semaine. Nous nous réunissions - et aujourd'hui encore - une fois par semaine pendant environ 1 heure 20 (je vous expliquerai le contenu des rencontres dans un autre message).

    Très vite, au fil des rencontres, les jeunes ont pris l'habitude de s'échanger des livres (la vie des saints en BD...), des vidéos (Les dix commandements, des reportages sur des grands sanctuaires mondiaux, des conférences données par des prêtres appartenant à des communautés nouvelles...), des cassettes audios... tant et si bien que notre groupe est devenu une véritable "plaque tournante" pour la diffusion de supports audio-visuels.

    Puis, au bout d'environ deux ou trois mois, nous avons tous eu envie de "faire" de petites actions pour entretenir ou stimuler l'amitié fraternelle avec ceux vers qui la Vierge nous demande de nous tourner en priorité : les pauvres et les malades (nous avons choisi, pour cela, le moment du Carême), les non-croyants (au moment de la Toussaint), les membres des autres confessions religieuses (au moment de la prière pour l'unité des chrétiens, en janvier)...

    Et c'est ainsi qu'est né notre "slogan" : "GMRP : un temps pour prier, un temps pour apprendre, un temps pour agir".

    (à suivre)

    PS : "Reine de la Paix" est le titre que la Vierge utilise pour se présenter à Medjugorje.


  • Dans "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé" (tome 1, chapitre 55), Maria Valtorta nous parle d'une vision au cours de laquelle elle a entendu la Vierge Marie chanter une berceuse à l'enfant Jésus pour l'endormir.
    Si vous voulez connaître les paroles de cette chanson bouleversante, cliquez ici >>


  • Extrait de l'encyclique "Deus Caritas est" : Celui qui pratique la charité ne cherchera jamais à imposer aux autres la foi de l'Eglise. Il sait que l'amour, dans sa pureté et sa gratuité, est le meilleur témoignage du Dieu auquel nous croyons et qui nous pousse à aimer. Le chrétien sait quand le temps est venu de parler de Dieu et quand il est juste de Le taire et de ne laisser parler que l'amour. Il sait que Dieu est amour (1 Jn, 4, 8) et qu'il se rend présent précisément dans les moments où rien d'autre n'est fait sinon qu'aimer.