• Des images intéressantes, étonnantes ou insolites...
         
    ♥♥♥
    Quand deux ânes se rencontrent... (photo : RV)
    Celui qui est dans le pré... et celui qui prend la photo.
         


  • Chaque vendredi, à Medjugorje, la vénération de la Croix est proposée aux fidèles. C'est là un temps fort très important qui devrait être mis en place dans toutes les paroisses.

        

    Qu'est-ce que vénérer la Croix ?

    Pour moi (mais ce n'est là qu'un témoignage personnel), c'est essentiellement deux choses :

    1-Dire à Jésus toutes nos souffrances.

    2-Pour chaque souffrance que l'on dit, rechercher avec Jésus la grâce correspondante qui nous permet de nous redresser et de nous rééquilibrer.

        

    On trouve cette grâce correspondante en étant très attentif, pendant la vénération, à ce que Jésus nous dit dans la Bible, à ce qu'il a accompli dans la vie des saints, à ce qu'il a déjà fait dans notre vie passée, à ce que nous suggère notre conscience...

        

    Voici trois petits exemples de ce qu'une personne peut dire à Jésus, pendant la vénération de la Croix, et des paroles que Jésus peut éveiller dans le cœur de cette personne pour la consoler.
         
    -Jésus, je ne parviens pas à intéresser telle personne à Medjugorje. C'est une souffrance pour moi.

    -Rappelle-toi qu'à mon époque, je n'ai pas convaincu tout le monde, moi non plus. Certains ont même voulu me tuer. Dis-toi aussi que les saints eux-mêmes n'ont jamais fait l'unanimité.
    Saint François d'Assise est un exemple extraordinaire... mais tous les hommes ne se reconnaissent pas forcément dans ses paroles et dans sa spiritualité. Il leur faut passer par quelqu'un d'autre pour venir à moi.
    Il en va de même pour toi. Tu es très bien, mais tu ne convaincras pas tout le monde d'adhérer à tes idées. Tu n'as pas le monopole de Medjugorje. Mais ne te culpabilise pas. Ce n'est pas de ta faute. C'est simplement que les sensibilités sont diverses. Le père Slavko Barbaric lui-même (lui qui était un saint) reconnaissait que malgré tous les livres qu'il écrivait, les gens ne se convertissaient pas.
         

    -Jésus, j'ai commis des péchés tellement graves que certaines personnes se sont détournées de Toi en me voyant vivre.

    -Tous les hommes sont pécheurs, même les plus grands : Moïse a assassiné un égyptien, David a commis l'adultère, Pierre m'a renié, Paul m'a persécuté... Lis la Bible et tu découvriras que j'ai guéri des gens qui étaient encore plus défaillants que toi... et j'en ai fait des saints !
    Si tu es trop faible pour illuminer les autres par ta sainteté, essayes de les illuminer en leur manifestant ma miséricorde. Ne te décourage jamais car d'un mal je peux faire jaillir un plus grand bien.
         
    -Jésus, j'ai peur que mon engagement en faveur de Medjugorje me joue des tours. J'ai peur que certains cherchent à me nuire.

    -Prie beaucoup pour le Pape. Il est infiniment plus connu et infiniment plus exposé que toi... et pourtant il continue sa mission avec courage. Prie pour lui, ainsi tu sentiras un lien avec lui; un peu comme si tu étais sous sa protection paternel.

        

    On peut continuer ce petit exercice indéfiniment. Pour chaque souffrance que nous présentons à Jésus, il existe une grâce correspondante qui nous redresse et nous rééquilibre. A nous de la trouver en laissant parler Jésus crucifié dans notre cœur !


  • Les débats sur les signes religieux à l'école tendent à nous faire oublier que Dieu ne se limite pas aux seuls signes extérieurs. Il est aussi "Esprit" (Esprit de vie, de joie, de paix, d'amour, de respect, de créativité...).
    Cela m'amène à faire les deux remarques suivantes :

        
    1)-Malgré l'interdiction des signes religieux, l'Esprit de Dieu est loin d'être totalement absent dans les établissements scolaires publiques
    (et ceci parce que l'on y trouve des choses excellentes : professionnalisme, créativité, initiatives diverses, entraide, partage...).
        
    2)-Malgré l'autorisation des signes religieux, l'Esprit de Dieu est loin d'être totalement présent dans les établissements scolaires privés
    (et ceci parce qu'il arrive que l'on y trouve des choses négatives : délaissement
    des aumôneries, suppression des crucifix dans les salles, transformation des chapelles en gymnases...).
        
    Tout cela pour dire que privé ou publique, aucun établissement scolaire n'a le "monopole" de l'Esprit.


  • Personnellement, j'ai toujours eu un problème avec la théorie qui nous dit que l'homme descend du singe.
    Pour moi, voir un homme (qui a une âme) "sortir" d'un singe (qui n'a pas d'âme) est tout aussi improbable que de voir un végétal (une fleur, par exemple) sortir d'un minéral (une pierre) ou de voir un animal (un oiseau) sortir d'un végétal.

         
    A l'occasion du bicentenaire de la naissance de Charles Darwin (1809-1882), il y a de très nombreux forums, sur internet, sur lesquels les internautes - dont de nombreux chrétiens - donnent leur opinion sur la théorie de l'évolution.
          

    Certains internautes rapportent que selon Maria Valtorta (voir ses cahiers 1945-50, chapitre 43), les hommes préhistoriques ne seraient pas des singes en train de devenir des hommes (comme on nous l'enseigne à l'école) mais des hommes en train de devenir des singes.
    En d'autres termes, ces hommes préhistoriques seraient des hommes en pleine déchéance, et cette déchéance serait dûe au fait que leurs penchants mauvais les auraient conduits à s'accoupler à des animaux (ils seraient donc des hybrides).

    C'est la raison pour laquelle Dieu aurait fait survenir le grand déluge, à l'époque de Noé. Dieu voulait alors mettre un terme à ces abominations et à cette dégénérescence généralisée.
    Noé et les siens seraient les seuls hommes qui seraient restés droits. C'est pourquoi Dieu les aurait sauvés.
       
    Certains internautes signalent également que la Bienheureuse Catherine Emmerich dit exactement la même chose dans ses écrits, à savoir que les hommes préhistoriques seraient en fait des hybrides d'avant le grand déluge, les signes d'une époque de décadence complète.