• Ces photos ont été prises au moment de la fête de l'Assomption 2011.

    1-L'aéroport de Split, en Croatie
    Une photo prise depuis le hall de l'aéroport, quelques minutes avant le décollage.
        

      

    2-Adieu le plancher des vaches !
    A 10 000 mètres d'altitude et à 800 km/h, je crois que je n'ai jamais été aussi heureux de ma vie. Je voudrais que l'avion n'atterrisse jamais. Une seule envie envahit mon coeur en regardant à travers le hublot : me jeter dans le vide avec un parachute pour m'enivrer d'air pur, traverser les nuages et rejoindre cette création si belle et ces paysages croates sublimes.
             

    REFLEXION
        

    Un jour, j'ai entendu une phrase qui m'a beaucoup marqué : "Ce n'est pas nous qui allons à Medjugorje, c'est la Vierge qui nous y invite".

    Je n'en suis pas tout à fait certain, mais je crois que cette phrase a été prononcée par sœur Emmanuel (de la communauté des Béatitudes).

        

    Pendant des années, j'ai eu du mal à comprendre le sens profond de cette phrase.

    Comment peut-on dire que ce n'est pas moi (et moi seul) qui décide d'aller à Medjugorje, mais que c'est la Vierge qui m'y invite ?

    N'est-il pas évident que c'est moi qui choisis les dates du pèlerinage ? Moi qui prends contact avec un organisme de voyage ? Moi qui décide du moyen de transport ? Moi qui fais les réservations ? Moi qui envoie le chèque pour payer mon séjour ? Moi qui fais mes bagages ? Moi qui me rends au point de rendez-vous fixé par le guide ?

    Comment peut-on dire que c'est la Vierge (et non pas moi) qui est derrière tout cela ?

    J'avais beaucoup de mal à comprendre ces choses.

    Puis, cette année, j'ai compris.

    Mais laissez-moi vous raconter...

     

    En janvier dernier, j'avais décidé de me rendre au Festival des Jeunes de Medjugorje (du 1er au 6 août 2011).

    J'avais noté les dates dans mon agenda. J'étais décidé. J'étais prêt. C'était sûr : j'irai.
    C'était là mon choix, ma décision, mon plan, mon intention, mon désir, mon projet, ma volonté.

        

    En juillet dernier, j'ai commencé  à préparer mon voyage, et, là, il s'est passé une chose qui ne s'était jamais produite au cours des années précédentes : tous les cars qui s'arrêtaient à côté de chez moi était pleins, et tous ceux qui avaient encore des places de libres ne s'arrêtaient pas à côté de chez moi (j'aurais dû, pour aller les rejoindre, faire des détours de plusieurs centaines de kilomètres).

    J'ai cherché, cherché, et cherché encore sur Internet... en vain. Aucun car ayant encore des places de libres ne s'arrêtait à côté de chez moi avant le mois de septembre.

    Je me suis donc retrouvé dans une situation de blocage.

    Après plusieurs jours de recherche infructueuse, j'ai dû me rendre à l'évidence : je n'irai pas à Medjugorje cette année.

    Le coup a été rude, mais je l'ai accepté. J'ai simplement dit à la Vierge : "Si tu veux que j'y aille, alors débrouille-toi car moi je ne vois pas la solution !"

      

    Puis, tout à fait par hasard, en surfant sur Internet, j'ai vu qu'il restait une place de libre (la toute dernière) dans un avion... pour l'Assomption. L'aéroport était situé à quelques kilomètres de mon domicile. 

    Je n'avais jamais pris l'avion auparavant, et, pour cette raison, je n'avais jamais songé à ce moyen de transport.

    Mais en voyant qu'il y avait cette place de libre qui me "tendait les bras", j'ai senti très fortement la présence de la Vierge, en moi, et c'est comme si elle me disait :

    "RV, cette place est pour toi. Elle n'est pour personne d'autre. Si tu ne la prends pas, personne d'autre ne l'aura. C'est la place que je t'ai réservée pour que tu viennes me voir cet été à Medjugorje.

    Tu voulais aller au Festival des Jeunes, c'est très bien. Mais moi, pour empêcher que tu ne t'enracines dans une sorte de "routine" (tu étais déjà au Festival des Jeunes l'an dernier), je t'invite à la fête de mon Assomption. Et puisque cette fête marque ma montée vers Dieu au Ciel, tu feras ce voyage en avion. A l'occasion de mon Assomption, je t'offre ton baptême de l'air !"

       

    Chers amis, on ne domine pas Medjugorje. On ne fait pas ce que l'on veut avec Medjugorje.

    Ce n'est pas parce que l'on a décidé soi-même d'y aller que forcément cela pourra se faire. Il peut toujours y avoir des problèmes de dernières minutes qui font que l'on ne peut jamais être sûr à 100% que notre propre volonté s'accomplira : problèmes de transport, problèmes d'argent, problèmes de santé...

    Par contre, si on fait confiance à la Vierge, alors on peut être certain que si elle le souhaite, et en passant par des chemins auxquels nous n'avions pas pensé, elle débloquera la situation et nous conduira à bon port.

    Voilà, je pense, le sens profond de cette phrase : "Ce n'est pas nous qui allons à Medjugorje, c'est la Vierge qui nous y invite".


  • Une prière extrêmement belle et extrêmement libératrice pour demander l'humilité.
        
    A réciter sans modération et à découvrir ici >>


  • Dans les établissements scolaires, savez-vous quelle est la différence entre les très jeunes élèves (disons du CP jusqu'en classe de cinquième) et les élèves moins jeunes (disons de la classe de quatrième jusqu'à la terminale) ?

    La différence, c'est la force du désir de répondre à une question posée par un professeur.

         

    Je m'explique :

    Les très jeunes élèves ont toujours une soif immense de participer, en cours.

    Ils ont soif de parler, soif de s'exprimer, soif de répondre quand on les interroge.

    Dès que le professeur leur pose une question, ils lèvent le bras très haut pour qu'on leur accorde l'autorisation de donner leur réponse... au point parfois de laisser penser qu'ils vont se démettre une épaule.

    C'est incroyable de voir à quel point les très jeunes élèves sont vivants et réactifs !

        

    Dans les classes supérieures, par contre, la motivation est souvent moindre.

    Quand un élève pense avoir la bonne réponse à une question, alors il "déplie" très lentement et très péniblement son doigt pour demander l'autorisation de parler (Mon Dieu ! Que c'est dur !), le coude restant comme "collé" à la table.

    Et si le professeur tarde trop avant d'interroger l'élève, alors le bras de ce dernier finit par  s'écrouler complètement sur le bureau.

    Il est trop lourd. L'élève ne peut pas le tenir à la verticale trop longtemps. L'effort serait surhumain.

    Je dis cela avec une pointe d'humour, vous l'aurez compris, mais soyez bien certains que c'est là quelque chose de tout à fait réel.

       

    Maintenant, chers amis, si vous me le permettez, j'aimerais vous raconter une petite histoire qui m'est réellement arrivée, il y a quelques années.

    Cela s'est passé dans une école primaire. Je venais de donner un cours d'anglais à une classe de CE1.

    A la fin du cours, l'un des élèves vient me voir et il me regarde fixement.

    Dans son regard, il y a beaucoup de colère et une très grande tristesse.

    Connaissant bien cet élève, et sachant qu'il est d'ordinaire très calme et très posé, je suis très surpris par cette attitude.

    Je lui demande :

    -Que t'arrive-t-il ? Il y a quelque chose qui ne va pas ?

    L'élève me regarde d'une manière très intense. Vraiment très intense. Des années après, son regard est encore présent dans ma mémoire.

        

    Oui, il me regarde de manière très intense, et il ne répond pas.

    Les secondes passent, en silence, et il ne dit rien. Il semble ne pas pouvoir parler, comme si ses sentiments étaient trop forts et l'en empêchaient.

    Constatant qu'il y a "blocage", j'essaye d'insister avec douceur :

    -Quelque chose ne va pas ?

    Là, il se met à pleurer et, en essayant tant bien que mal de trouver sa respiration, il me dit :

    -C'est pas juste ! C'est pas juste !!

    -Comment ça, c'est pas juste ? Qu'est-ce qui n'est pas juste ? Explique-moi ce que tu veux me dire, par là.

        

    L'élève fait une longue pause puis, après avoir essuyé ses larmes d'un revers de manche, il finit par me dire la chose suivante : (ne soyez pas surpris par son tutoiement mais, en primaire, on laisse souvent les élèves libres de tutoyer ou de vouvoyer leurs enseignants) :

    -C'est pas juste ! J'ai levé la main trois fois pour répondre à trois questions que tu as posées !! Et tu ne m'as même pas interrogé une seule fois !!!

         

    Voilà, il venait de m'avouer la raison de sa colère et de sa profonde tristesse.

    Sans le faire exprès, je n'avais pas remarqué cet élève qui, au premier rang, avait levé la main trois fois.

    Comme je viens de vous le dire, chers amis : des années plus tard, son regard et ses paroles sont encore présents dans ma mémoire. C'est comme si c'était hier.

    Et je pense que je ne les oublierai jamais.

         

    En fait, la raison pour laquelle cette histoire m'a si profondément marqué est que, ce jour-là, l'attitude bouleversante de ce petit garçon de CE1 m'a appris quelque chose de très important.

    Cette chose, c'est que non seulement les jeunes élèves ont une soif immense de répondre aux questions qu'on leur pose (c'est-à-dire, finalement, de répondre aux "appels" qu'on leur lance), mais, en plus de cela, s'ils n'ont pas la possibilité de répondre à ces "appels", alors ça peut être un drame, pour eux; un véritable drame qui peut les rendre extrêmement malheureux.

        

    J'arrête là mon histoire. Je ne vais pas plus loin.

    Pour finir, et dans le prolongement du message que la Vierge de Medjugorje nous a donné le 25 août 2011 par l'intermédiaire de la voyante Marija, j'aimerais simplement poser une question : est-ce un drame, pour nous les adultes, de ne pas répondre aux appels que nous lance la Mère de Dieu à Medjugorje ?
        
    Lien :
    La soif de répondre ou l'esprit d'enfance de sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus >>
     


  • Cette photo a été prise au moment de la fête de l'Assomption 2011.

    1-Saint Leopold Bogdan Mandic
    A droite des confessionnaux, à Medjugorje, se trouve la statue de Saint Léopold Bogdan Mandic (1866-1942). Ce Saint de 1 mètre 32 est né à Boka Kotorska (au Monténégro) et il a passé la plus grande partie de sa vie à Padoue (en Italie). Pendant 40 ans, il y a confessé les gens quotidiennement. Il est très populaire à Medjugorje.
        

        


  • Ces photos ont été prises au moment de la fête de l'Assomption 2011.

    1-Le chapelet en nylon
    Dans de très nombreux magasins, on trouve maintenant des chapelets réalisés entièrement en nylon (fil + perles). Seront-ils plus résistants que les autres ? J'en ai acheté trois. Je vous donnerai la réponse dans quelque temps...
        

    2-L'agenouilloir en mousse
    Pour éviter que les gens ne se blessent sur les cailloux, en s'agenouillant sur le sol, il y a désormais la possibilité d'utiliser un agenouilloir en mousse (dans la corbeille orange, sur la photo).
          

    3-La canne téléscopique
    Une canne de marche avec un manche gradué dont on peut régler la hauteur comme on le souhaite (à droite, et en bleu, sur la photo). La canne s'adapte à toutes les tailles.