• Dans un article publié sur le site "Mary-TV" en septembre 2012, Cathy Nolan signale que le voyant Ivan Dragicevic a dit que ses messages quotidiens s'adressaient d'abord et avant tout aux personnes présentes pendant l'apparition.
        
    Ces messages, contrairement à ceux de Marija Pavlovic-Lunetti, ne sont pas destinés au monde entier.


  • Voici un extrait de "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé", de Maria Valtorta (Tome 2, chapitre 32). Jésus parle avec Judas.

        

    JESUS : Il est vrai que le suicide est un véritable meurtre : qu'il s'agisse de notre vie ou de celle d'autrui, c'est un don de Dieu et à Dieu seul qui l'a donnée est réservé de pouvoir l'enlever. Qui se tue avoue son orgueil, et l'orgueil est haï de Dieu.

        

    JUDAS : Avoue l'orgueil ? Je dirais plutôt le désespoir.

         

    JESUS : Et qu'est-ce que le désespoir, sinon de l'orgueil ? Réfléchis Judas. Pourquoi quelqu'un désespère-t-il ? Parce que les malheurs s'acharnent sur lui et que lui, par ses propres moyens, n'en peut venir à bout. Ou parce qu'il est coupable et qu'il juge que Dieu ne peut lui pardonner. Dans l'un et l'autre cas, n'est-ce pas peut être l'orgueil qui le domine ? L'homme qui ne veut se fier qu'à lui-même n'a plus l'humilité de tendre la main au Père et de Lui dire : "Je ne puis, mais Toi, tu le peux. Aide-moi, car c'est Toi qui donnes tout ce que j'espère et attends ". Cet autre homme qui dit : "Dieu ne peut me pardonner", il le dit parce mesurant Dieu à son aune, il sait que quelqu'un, offensé, comme il l'a offensé, ne pourrait pas pardonner. Là aussi c'est de l'orgueil. L'humble compatit et pardonne même s'il souffre de l'offense qu'il a reçue. L'orgueilleux ne pardonne pas. Il est orgueilleux aussi parce qu'il ne sait pas courber le front et dire : "Père j'ai péché, pardonne à ton pauvre fils coupable". Mais ne sais-tu pas, Judas, que tout sera pardonné par le Père, si le pardon est imploré d'un cœur sincère et contrit, humble et désireux de résurrection dans le bien ?

         

    JUDAS : Mais certains crimes rendent impossible le pardon. Ils ne peuvent pas être pardonnés.

        

    JESUS : C'est toi qui le dis, et ce sera vrai parce que l'homme l'aura voulu. Mais en vérité, oh ! en vérité Je te dis que même après le délit des délits, si le coupable accourait aux pieds du Père - Il s'appelle Père pour cela, ô Judas, c'est un Père d'une perfection infinie - si, en pleurant, en suppliant de lui pardonner, il s'offrait à l'expiation, mais sans désespoir, le Père lui donnerait le moyen d'expier pour qu'il mérite le pardon et sauve son esprit.

        

    Liens :

    Eléments de réflexion apportés par Maria Simma >>

    Eléments de réflexion apportés par Marthe Robin >>


  • Au niveau de la météo, les choses ne vont pas très fort dans le monde actuellement :

        

    Tandis que la pollution (fumées d'usines, aérosols...) a un effet négatif sur la couche d'Ozone et entraîne un réchauffement de la planète, une autre forme de pollution (athéisme, immoralité...) a un effet négatif sur l'âme humaine et entraîne un refroidissement du cœur.

        

    Si la température extérieure (celle de l'air) continue de monter et si la température intérieure (celle de l'homme) continue de descendre, alors le monde va ressembler de plus en plus à l'Enfer (fournaise au-dehors, froid glacial au-dedans).

        

    Par contre, si les hommes parviennent à inverser la tendance (c'est-à-dire s'ils arrivent à faire baisser la température extérieure et à faire monter la température intérieure), alors ce sera le Paradis sur la Terre (temps agréable au-dehors, chaleur très intense au-dedans) !


  • Un compagnon d'Emmaüs (la Communauté fondée par l'Abbé Pierre) vient de me raconter l'histoire suivante :

        

    L'année dernière, il était le responsable d'une Communauté dans le Sud de la France. Depuis quelque temps, le chiffre d'affaire était en baisse en raison de la concurrence des brocantes et des vide-greniers qui tendent à se multiplier en périodes de crise.

    Il a alors cherché comment il pourrait faire pour que la situation s'améliore.

        

    Voyant qu'un certain désordre régnait dans les différents stands de la Communauté (vaisselle, bibelots, livres, vêtements...), il a décidé de réorganiser complètement le classement des articles qui étaient en vente.

    Pendant un mois entier, lui et les compagnons se sont dépensés sans compter pour que chaque chose soit désormais bien à sa place : les couteaux et les fourchettes ont été classés par taille, les bibelots ont été rangés par couleurs, les livres ont été triés en fonction du genre auquel ils appartenaient (romans, policiers, témoignages, classiques, spiritualité...), et les vêtements ont été présentés d'une manière beaucoup plus claire et beaucoup plus attractive.

       

    Le résultat ne s'est pas fait attendre. Très rapidement, le chiffre d'affaire est monté en flèche.

    Le Compagnon qui m'a raconté cela explique les choses de la manière suivante : quand les gens viennent dans un magasin, ils savent généralement ce dont ils ont besoin et ce qu'ils désirent acheter.

    S'ils trouvent très vite leur article, ils l'acquièrent et ils sont contents. Par contre, s'ils sentent qu'il va leur falloir chercher pendant des heures et fouiller dans 36 cartons différents, alors ils se découragent et repartent aussitôt (même si l'article est bien en magasin).

        

    En pensant à cette histoire, je me suis dit que, d'une certaine manière, c'était un peu pareil dans l'Eglise.

    Quand des gens (notamment des non-croyants ou des gens qui sont éloignés de la foi) viennent s'adresser à un chrétien, ilss savent à l'avance ce qu'il leur faut : de l'attention, de la joie, de la paix, de l'amour, un conseil...

        

    Si ces personnes découvrent qu'il n'y a que du désordre dans le cœur du chrétien auquel elles parlent (agitation, peur de catastrophes, discours interminables sur l'Enfer, paroles malveillantes tournées contre le prochain ou contre les prêtres, orgueil...) et si elles ne parviennent pas à trouver très vite ce qu'elles recherchent (la foi, l'espérance, la charité...), alors ces personnes s'en vont et elles ne reviennent plus. C'est ainsi. Elles ne vont pas passer leur journée entière à attendre.

       

    A mon sens, cela nous invite à penser que le secret pour augmenter le chiffre d'affaire d'une entreprise est le même que pour augmenter le nombre de fidèles dans l'Eglise : tout est une question de ménage.

    Dans un cas, il faut faire du ménage dans le magasin. Dans l'autre cas, il faut faire du ménage dans son cœur.


  • En été 2012, à Medjugorje, il m'est arrivé une petite histoire "amusante".
    Un jour, je marchais autour de l'église Saint Jacques, à la recherche d'un prêtre français pour me confesser.
    A un moment  donné, j'ai vu un confessionnal sur la porte duquel il était signalé que le prêtre qui se trouvait à l'intérieur confessait en au moins trois langues : l'italien, l'anglais et le français (il y avait aussi une ou deux autres langues, mais je ne me souviens plus lesquelles).
        
    Ce confessionnal était facilement repérable : c'était l'un des nouveaux confessionnaux, celui qui était le plus près de l'écran géant.
        
    E
    n passant devant, sans savoir pourquoi, j'ai été saisi par un vif désir de me confesser auprès de ce prêtre. Il y avait quelque chose de très "doux" qui se dégageait de cet endroit; quelque chose de difficilement explicable.
    Mais comme il faisait extrêmement chaud et que plusieurs autres personnes attendaient devant moi, je ne suis pas resté.
        
    Le lendemain, l'une de mes amies m'a raconté l'histoire suivante : "Hier, je suis allée me confesser auprès de ce prêtre qui parlait plusieurs langues. Tu sais, il s'agit de celui qui se trouvait juste à côté de l'écran géant. Il a été extraordinaire avec moi. J'avais des choses très lourdes à porter et il m'a beaucoup aidée. Figure-toi que ce prêtre était le Père Gianni Sgreva, le fondateur de la Communauté Oasis de la Paix" (voir l'article ici >>).
        
    Après la confession, le Père Sgreva a dit à mon amie que sa Communauté était maintenant présente sur les cinq continents. En ce qui concerne la maison de Medjugorje, elle est fermée et elle n'accueille plus aucun pèlerin. Toutefois, une équipe restreinte (composée de membres de la Communauté) continue de rester sur place pour veiller sur le lieu.
        
    Le fait que la maison appartienne donc toujours à "l'Oasis de la Paix" nous laisse espérer que, peut-être, la Communauté reviendra un jour à Medjugorje (je ne sais pas, c'est moi qui dit cela).
    En tous les cas, en attendant que ce jour arrive (si c'est bien dans le projet de Dieu), sachez que le Père Sgreva vient encore de temps en temps à Medjugorje, qu'il y confesse et qu'il parle un excellent français !