• Une petite réflexion de votre serviteur...
        
    Donne-nous de siéger, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire (Marc 10, 37).
        

    Cette demande de Jacques et Jean à Jésus est une tentation que les hommes ont bien souvent.
        
    C'est la tentation de vouloir être le plus grand, de rechercher la première place, de s'entourer uniquement de gens de grand renom, d'envier la vie qu'ils mènent plutôt que de chercher à partager celle des pauvres...
        
    C'est la tentation de vouloir être admiré par les hommes du monde entier, telle une grande vedette qui est acclamée par son public dans une salle de spectacle.
    C'est la tentation de vouloir qu'aux yeux de tous, Jésus vienne s'asseoir à nos côtés pour juger le monde et régner à jamais.

         
    Il est une chose importante que nous ne devrions toutefois pas oublier :
        
    Quand Jésus reviendra dans sa gloire (et personne ne sait quand ce moment se produira), il se pourrait bien qu'Il agisse de la même façon que lors de sa première venue, la nuit de Noël.
        
    Oui, il se pourrait fort bien que Jésus décide de faire son entrée en passant non pas par le devant de la scène (c'est à dire par là où nous nous trouvons) mais... par le fond de la salle !

         
    Et là, lorsque les hommes du monde entier se retourneront tous pour Le voir et qu'ils regarderont enfin dans la bonne direction, alors tous ceux qui se trouvaient dans le fond de la salle et qui occupaient les derniers rangs (les pauvres, les malades...) se retrouveront automatiquement aux premières places pour accueillir le Christ !
        
    Et c'est ainsi que "beaucoup de premiers seront derniers, et beaucoup de derniers, premiers" (Matthieu 19, 30).
         
    Mais nous, à ce moment-là, du haut de notre piédestal et de notre suffisance, aurons-nous encore assez d'humilité pour dire à Jésus : "Jésus, souviens-toi de moi" ? (Luc 23, 42)


  • Une petite réflexion de votre serviteur...
        
    Donne-nous de siéger, l’un à ta droite et l’autre à ta gauche, dans ta gloire (Marc 10, 37).
        

    Cette demande de Jacques et Jean à Jésus est une tentation que les hommes ont bien souvent.
        
    C'est la tentation de vouloir être le plus grand, de rechercher la première place, de s'entourer uniquement de gens de grand renom, d'envier la vie qu'ils mènent plutôt que de chercher à partager celle des pauvres...
        
    C'est la tentation de vouloir être admiré par les hommes du monde entier, telle une grande vedette qui est acclamée par son public dans une salle de spectacle.
    C'est la tentation de vouloir qu'aux yeux de tous, Jésus vienne s'asseoir à nos côtés pour juger le monde et régner à jamais.

         
    Il est une chose importante que nous ne devrions toutefois pas oublier :
        
    Quand Jésus reviendra dans sa gloire (et personne ne sait quand ce moment se produira), il se pourrait bien qu'Il agisse de la même façon que lors de sa première venue, la nuit de Noël.
        
    Oui, il se pourrait fort bien que Jésus décide de faire son entrée en passant non pas par le devant de la scène (c'est à dire par là où nous nous trouvons) mais... par le fond de la salle !

         
    Et là, lorsque les hommes du monde entier se retourneront tous pour Le voir et qu'ils regarderont enfin dans la bonne direction, alors tous ceux qui se trouvaient dans le fond de la salle et qui occupaient les derniers rangs (les pauvres, les malades...) se retrouveront automatiquement aux premières places pour accueillir le Christ !
        
    Et c'est ainsi que "beaucoup de premiers seront derniers, et beaucoup de derniers, premiers" (Matthieu 19, 30).
         
    Mais nous, à ce moment-là, du haut de notre piédestal et de notre suffisance, aurons-nous encore assez d'humilité pour dire à Jésus : "Jésus, souviens-toi de moi" ? (Luc 23, 42)


  • Voici un extrait d'un article qui est paru sur le site de l'association "Etoile Notre Dame" le 23 septembre 2014, à l'occasion de la fête du Padre Pio :
        
    Fêté le 23 septembre, saint Pio de Pietrelcina (1887-1968) fut configuré au Christ jusqu'aux stigmates. Sa vie : prière, sacrifice, charité.
        
    Personnage très populaire dans l’Église catholique, Padre Pio a vécu pendant cinquante ans avec les plaies du Christ.
        
    Le sanctuaire de San Giovanni Rotondo, où vivait le célèbre capucin, au sud de l’Italie, est devenu le troisième lieu de pèlerinage de l’Église, en nombre de visites, après Guadalupe au Mexique et le Vatican.
        
    Sa canonisation par Jean Paul II en juin 2002 a été saluée par plusieurs comme la victoire du peuple. Sa vie fut un long combat contre les forces du mal. Ses armes : la prière continuelle et la croix du Christ.


  • Voici une info qui est parue sur le site "Medjugorje Today" le 23 septembre 2014 :
        
    June Klins est la responsable du site américain Spirit of Medjugorje.
        
    En mars 2013, elle a proposé à ses internautes d'offrir une Messe aux intentions de la Vierge.

        
    Dix-huit mois plus tard, ce sont presque 12 000 Messes qui ont été offertes ! Incroyable !

        
    Nul doute que la Sainte Vierge doit être extrêmement contente de voir ses enfants répondre à cet appel qu'elle nous a si souvent lancé, à Medjugorje, et qu'elle a réitéré dans son message du 25 août 2014 : Chers enfants, priez pour mes intentions, car Satan veut détruire les plans que j'ai ici et voler votre paix.
     


  • Une amie vient de me transmettre ce très beau poème de Guy Ristori (un poète français qui réside dans le Doubs).
        
    Modestement vêtu d'un costume usagé,
    C'était un homme noir, un Africain sans doute,
    Sans doute un homme mûr sans être très âgé,
    Comme on en voit parfois se perdre sur nos routes.
        
    Avec cette valise et ce sac à la main,
    D'où pouvait-il venir dans son piètre équipage ?
    S'il cherchait un travail, il chercherait en vain,
    Que pourrait-il bien faire en notre vieux village ?
        
    On l'avait éconduit avant qu'il n'eût parlé,
    Son regard était doux avec des yeux très sombres,
    Il avait l'air anxieux et surtout désolé,
    Il se faisait petit, n'était guère qu'une ombre.
        
    Avant qu'il n'eût parlé, on lui tournait le dos,
    De maison en maison, combien de portes closes,
    Et combien de refus, combien de fiascos
    Lui rendaient chaque instant sa vie des plus moroses !
        
    Sur la petite place jouait seul un enfant,
    Qui fut surpris de voir l'homme noir apparaître
    Et venir demander presque timidement :
    Dis-moi où est l'église... Je suis le nouveau prêtre !