• La fin ultime de toute l'économie divine, c'est l'entrée des créatures dans l'unité parfaite de la bienheureuse Trinité (paragraphe n°260 du CEC).
     
        

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    Citation (tirée de la liste ci-dessous) : Le Fils et l'Esprit sont comme deux mains par lesquelles Dieu façonne le monde et son histoire (Saint Irénée).


        
        
    -"Ce qu'il y avait d'invisible chez le Fils, c'était le Père; et ce qu'il y avait de visible chez le Père, c'était le Fils" (Saint Irénée).
        
    -"C'est depuis le baptême de Notre Seigneur qu'on a connu particulièrement les trois Personnes de la Sainte Trinité" (Saint curé d'Ars).
        
    -"L'Esprit Saint est la Personne-amour. Il est la Personne-don. Cela nous montre, au sujet du concept de personne en Dieu, une richesse insondable de la réalité et un approfondissement dépassant ce qui se peut exprimer" (Saint Jean-Paul II).
        
    -"Qui d'autre partage l'éternité du Père, sinon le Fils et l'Esprit Saint ? Or, l'un et l'autre ne sont pas tant miséricordieux qu'ils ne constituent véritablement la miséricorde elle-même. Il n'en reste pas moins que le Père aussi est miséricorde. Et les trois ne font qu'une seule et même miséricorde, de même qu'ils ne constituent qu'une seule essence, une seule sagesse, une même divinité, une unique majesté" (Saint Bernard).
       
    -"Le mouvement par lequel l'Esprit Saint procède du Père et du Fils s'est voilé dans les ténèbres, mais le mouvement par lequel il procède vers les hommes a commencé aujourd'hui à se faire connaître, et déjà il s'est manifesté aux croyants" (Saint Bernard)
        
    -"Jésus nous prend tels que nous sommes et il nous offre au Père tel qu'il est" (Marthe Robin, parole citée par Pascal Maillard sur ZJM)
        
    -"Le mystère du Dieu Trinité, c'est le mystère de trois personnes qui s'aiment immensément. On pourrait donc très bien parler du "Dieu-famille". Et les relations entre les membres d'une même famille devraient toujours être à l'image des relations entre les trois personnes de la Trinité" (un prêtre de passage dans ma paroisse)
        
    -"Comme le Père vit dans le Fils par l'amour, et comme le Fils vit dans le Père par l'amour qu'il a pour lui, ainsi nous devons vivre en tous les hommes, par l'amour que nous avons pour eux. Nous devons aimer à ce point tous les hommes. Vivre en eux et non en nous" (Charles de Foucauld)
         
    -"Le soleil, c'est le Père. On ne peut pas le regarder en face. Le rayon, c'est le Fils. Il finit toujours par disparaître, comme le Fils est retourné au Père. Le Saint Esprit, c'est ce qui reste : la lumière et la chaleur"
    (Père René-Luc)
        
    -"Tu es tenu de croire au Fils de la même manière que tu crois au Père, de croire en l'Esprit Saint de la même manière que tu crois au Fils, avec cette seule différence que tu confesses devoir croire en la croix du seul Seigneur Jésus" (Saint Ambroise)
        
    -"Par la prière, je m'adresse à quelqu'un qui, non seulement, est une personne mais qui, dans cet Amour absolu des Personnes divines, est unique et trois fois personnel dans l'Unité" (Abbé Pierre)
        
    -"J'aime beaucoup la Trinité : chaque personne de la Trinité est tournée vers l'autre. La religion qui m'a été apprise est une "religion vers", c'est à dire une religion qui sort de soi, qui est penchée hors de soi" (soeur Emmanuelle)
        
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  • La Trinité à la lumière de Medjugorje
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    Dernière mise à jour :

    Dans la partie intitulée "Le Fils" :
    Points 1a, 1b et 1c :
    1a)-Je prie mon Fils pour vous, mon Fils qui est uni au Père Céleste et à l'Esprit consolateur, mon Fils qui conduit les âmes vers le Royaume d'où il est venu (02/07/18).
    1b)-
    Je sais que vous pensez à moi avec amour et espérance et je ressens moi aussi de l'amour pour vous tous, comme mon très cher Fils en ressent également; Lui qui, dans son amour miséricordieux, m'envoie vers vous toujours à nouveau. Lui qui a été homme, qui a été et qui est Dieu, un et trine, et qui a souffert pour vous sa Passion dans son corps et dans son âme. Lui qui s'est fait Pain pour nourrir vos âmes et ainsi les sauver (02/07/17).
    1c)-En tant que Mère, je désire que vous appreniez à connaître mon Fils le mieux possible, il est Dieu né de Dieu. Je désire que vous connaissiez la grandeur de son amour qui vous est si nécessaire (...). N'oubliez jamais que mon Fils, un et trine, vous aime
    (02/11/17).


  • Une petite méditation de votre serviteur...
        
    Lorsque nous mettons Dieu au centre de nos vies, alors c'est Lui qui se charge d'organiser nos journées.
    Les rencontres, les rendez-vous, les événements, les imprévus... tout semble avoir été arrangé par Lui : tout s'articule autour de la prière, tout est à sa place, tout vient au bon moment, tout s'enchaîne de manière logique, tout a un sens...
    C'est un peu comme si Dieu Lui-même avait demandé à Ses anges de noter dans nos agendas tout ce qui devait se passer aujourd'hui, heure par heure et minute par minute.
         
    Alors, pourquoi autant de chrétiens de notre époque ont-ils peur de l'avenir et de ce qui pourrait leur arriver ? D'où leur vient cette crainte étrange ?
    Celui qui nous a si bien aidés aujourd'hui ne pourrait-Il pas nous aider aussi demain ?
    Celui qui sait si bien veiller sur chacune de nos journées ne pourrait-Il pas veiller également sur notre vie tout entière ? Et ne saura-t-Il pas, dans les moments plus difficiles, donner à ses enfants toutes les grâces et tous les secours dont ils auront besoin pour surmonter les difficultés qu'ils rencontreront sur leur chemin ?
        
    Lien :
    Les blessures liées au temps
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  • Une petite réflexion de votre serviteur.
        
    Dieu est la solution à tous nos problèmes.
    Pourquoi donc avons-nous parfois tant de mal à Lui faire confiance ?
        
    Je crois que c'est en partie parce que, très souvent, Dieu nous envoie les problèmes avant de nous donner les solutions.
    Alors, croyant qu'Il nous abandonne ou bien qu'Il ne nous aime pas, nous crions contre Lui.
    Nous voudrions qu'Il fasse l'inverse.
        
    Mais Dieu serait-Il est bon enseignant s'Il nous envoyait les solutions avant les problèmes ?
    Que penserait-on d'un professeur qui commencerait par donner à ses élèves toutes les réponses aux exercices qu'ils auraient à faire ?
    Nous dirions de ce professeur : "Il ne fait pas bien son travail. Avec lui, les élèves ne vont pas progresser".
        
    Alors, cessons de nous plaindre et de maugréer. Efforçons-nous plutôt de chercher en Dieu les solutions à tous les problèmes qui se posent à nous, et ce grâce à la méthode qu'Il a Lui-même demandé à Sa Mère de nous donner.
        
    Ainsi que la Vierge nous l'a dit à Medjugorje :
    Lorsque des tentations et des problèmes surviennent, vous dites : "O Dieu, O Mère, où êtes-vous ?" Et moi, je ne fais qu'attendre que vous me donniez votre "oui" pour le transmettre à Jésus, et qu'il puisse vous combler de grâces (25/05/92).


  • Voici un article très intéressant du père Christian Delorme (diocèse de Lyon) paru dans Pèlerin magazine en mai 2006 :
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    Comment nommer Dieu ?
    En terminale dans un lycée international, Bénédicte a été ébranlée par ce que lui a asséné un camarade musulman. "Vous, les chrétiens, vous désignez Allah sous un vocable païen : le mot "dieu" n'est rien d'autre que le dérivé du nom de Zeus. Même les juifs ne font pas comme vous !" Je dois rassurer la jeune fille : "Ton camarade est allé un peu vite ! L'étymologie du mot "dieu", en français, provient d'une racine des langues indo-européennes, "dei", qui comporte l'idée de briller. Le nom grec de "Zeus" (que l'on peut traduire par "dieu du jour lumineux") provient de cette racine comme le nom français "Dieu". Le nom "Allah", quant à lui, vient d'une racine des langues sémitiques, "el" (en hébreux) ou "il-lah" (en arabe), qui évoque aussi un nom commun : "la divinité". Mais l'interpellation de ce garçon a le mérite de nous faire réfléchir au nom que nous donnons à Dieu. La tradition juive nous apprend que ce n'est pas facile. Selon la Révélation faite à Moïse au mont Sinaï, le nom propre du Dieu d'Israël est YHWH, soit quatre consonnes en hébreu qu'on traduit en français par : "Je suis qui je serai" (Exode 3, 14). Par respect pour Dieu, les juifs ont choisi de ne pas prononcer ce nom YHWH (que les chrétiens se permettent de dire "Yahvé), et ils ont soit superposé aux quatre consonnes sacrées le titre "Adonaï" (que l'on peut traduire par "Seigneur"), soit employé des termes pouvant être considérés comme des synonymes, particulièrement "Hachem", c'est-à-dire "le Nom". Dans la traduction grecque de la Bible (la Septante, réunie un siècle avant l'ère chrétienne), le nom choisi est "Kyrios", qui veut dire "Seigneur". Certaines traductions en français, juives ou chrétiennes, ont opté pour "l'Eternel". Il y a eu aussi la traduction un peu aberrante faite au XIXe siècle : le nom "Jéhova", mélange des consonnes YHWH et des voyelles d'Adonaï. En fait, aucune traduction de YHWH, ensemble de lettres qui cherche à démontrer la présence de Dieu dans l'histoire, n'est satisfaisante. Mais les chrétiens privilégieront le nom de "Seigneur", qui peut être attribué au Père, au Fils et à l'Esprit.