• Nous vivons dans un monde où les hommes ont beaucoup de problèmes au niveau affectif. Il y a beaucoup de croix, beaucoup de maux, beaucoup de blessures, beaucoup de souffrances... Il y a des moments où je me demande si la solution à tous ces problèmes ne passerait pas par une dévotion à "l'Enfant Marie". Je ne sais pas si cette dévotion existe déjà, dans l'Eglise. Personnellement, je n'en ai jamais entendu parler. Toutefois, je suis certain qu'elle pourrait faire beaucoup de bien. En effet, imaginez un instant que vous marchez le long d'une plage et que vous tenez la Vierge Marie, enfant, dans vos bras. Elle est là. Tout contre vous. Elle met ses petites mains autour de votre cou et vous aime de tout son cœur. Vous êtes son unique grand frère. Elle est fière de vous et n'a d'yeux que pour vous. Elle aime être vue avec vous. Elle met toute sa confiance en vous. Elle n'a aucune crainte quand vous êtes là. Elle sent merveilleusement bon et, si vous essayez de la laisser redescendre pour qu'elle marche toute seule à vos côtés, alors elle s'accroche fortement à vous et ne veux absolument pas vous lâcher. Allez, ne cherchez pas à jouer les durs ! Avouer franchement ! Vous ne ressentez pas une douce joie vous envahir, en pensant à cela ?


  • Dans "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé" (tome 1, chapitre 55), Maria Valtorta nous parle d'une vision au cours de laquelle elle a entendu la Vierge Marie chanter une berceuse à l'enfant Jésus pour l'endormir.
    Si vous voulez connaître les paroles de cette chanson bouleversante, cliquez ici >>


  • Dans le tome 1 de "L'évangile tel qu'il m'a été révélé" (au chapitre 64), on apprend que la Vierge Marie a décidé, en accord avec saint Joseph, de ne pas mettre Jésus à l'école quand il était jeune mais de l'éduquer elle-même. Le Christ n'a donc jamais fréquenté les salles de classes. C'est sa maman qui a fait son éducation, ainsi que celle de ses deux cousins Jude et de Jacques, à la demande de leurs parents (Jude et Jacques sont devenus par la suite des apôtres). - A la fin du chapitre 64, Maria Valtorta raconte une vision au cours de laquelle Jésus lui a dit la chose suivante :
        
    Et Marie fut ma maîtresse, celle de Jacques et de Jude. Voilà pourquoi nous nous aimâmes comme des frères, en plus de la parenté, unis par le savoir et l'éducation comme trois sarments d'un même tronc. Ma Maman, Docteur comme nul autre en Israël, cette douce Maman à moi. Siège de la Sagesse et de la vraie Science. Elle nous instruisit pour la vie du monde et pour celle du Ciel. Je dis : "nous instruisit" car je fus son écolier pas autrement que mes cousins. Et le "sceau" fut maintenu sur le secret de Dieu contre la curiosité de Satan, maintenue sous l'apparence d'une vie commune.