• Des anecdotes amusantes ou intéressantes, des faits historiques importants... pour apprendre à mieux connaître les Papes et le Vatican.
        

          
    Jean-Paul II
    L'importance de la prière pour le Pape saint Jean-Paul II
    (25/10/15)
    Voici une anecdote qui a été postée sur le site de la paroisse d'Eyguières :
    Dans un avion au-dessus de l'océan Indien, le Pape Jean-Paul II est en train de dire ses vêpres. Son secrétaire d'État s'approche de lui.
    Le secrétaire : Saint-Père, nous venons de recevoir par radio un message urgent du Vatican.
    Le Pape : Est-ce que c'est très urgent ?
    Le secrétaire : Oui, c'est très urgent.
    Le Pape : Est-ce que c'est important ?
    Le secrétaire : Oui, Saint-Père, extrêmement important !
    Le Pape : Bon, alors, continuons la prière !
        
    Locution
    Sainte Thérèse de l'Enfant Jésus parle du Pape au vénérable Marcel Van
    (23/07/15)
    Voici les paroles que sainte Thérèse de l'Enfant Jésus a dites au vénérable Marcel Van dans une locution intérieure (source : "L'amour ne peut mourir", du Père Marie-Michel) :
    VAN : Comment ? Le Saint Père a donc lui aussi besoin de nos prières ?
    THERESE : Pourquoi pas ? Il souffre beaucoup, petit frère... Que de souffrances endure aujourd'hui la Sainte Eglise ! On peut les comparer à l'agonie que Jésus Sauveur a endurée autrefois sur la croix... et les souffrances de l'Eglise torturent cruellement le cœur de notre père commun. Mais vu qu'il reste un homme comme toi, il a besoin d'une force surnaturelle pour tenir... Aussi, en union avec le Saint Père, offre chaque jour à Jésus Rédempteur toutes les souffrances de la Sainte Eglise...
        
    Citation
    Mgr Leonard parle du Pape François
    (04/03/15)
    Voici une petite phrase que Mgr Leonard a prononcée en mars 2014 (source : Le Vif/L'Express) : Je nage dans les paroles du pape François comme un poisson dans l'eau bénite. Son invitation à aller vers la "périphérie" est une idée géniale. Il est habité par un feu qui concrétise l'option préférentielle de l'Eglise pour les pauvres.

          

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  • Un témoignage de votre serviteur...
        
    1-Le professeur d'Histoire-Géographie a un rôle très important à jouer dans l'éducation des jeunes. Il doit leur donner des repères dans le temps et dans l'espace pour qu'ils puissent se situer. Existe-t-il une mission plus urgente en ce temps où le monde est désorienté ?

         
    2-Tout au long de ma scolarité, j'ai été allergique à l'Histoire. Le fait de devoir apprendre par cœur autant de dates (la date des guerres, des batailles, des victoires, de la signature des traités de paix...) m'était insupportable. C'était comme si l'on m'obligeait à faire entrer le monde en moi et à graver dans ma mémoire ses violences, ses incohérences, ses errances... J'avais l'impression de me faire du mal à moi-même. Mon âme rejetait l'Histoire comme le corps rejette parfois certaines greffes.
         
    3-L'année du Baccalauréat, je n'ai absolument rien révisé en Histoire car cela m'était impossible. Et bien que j'ai été dans l'incapacité totale d'écrire quoi que ce soit d'intéressant sur le sujet donné à l'examen, j'ai quand même obtenu une moyenne de 9/20 en Histoire-Géographie. En effet, ma note en Géographie a été excellente. Le sujet était le marché du pétrole et j'ai essayé de faire preuve d'originalité en dessinant quelques graphiques sur ma copie. Je pense que cela a beaucoup plu aux correcteurs.
         
    4-La réconciliation avec l'Histoire s'est faite au début des années 2000. En écoutant un prêtre parler de l'Histoire de l'Eglise lors d'une série de conférences, j'ai senti grandir en moi un intérêt extrêmement fort pour cette matière. En effet, au fur et à mesure qu'il parlait, ce prêtre répondait à une question absolument essentielle sur laquelle je découvrais avec effroi que je ne savais strictement rien : Que s'est-il passé après la Pentecôte ?
         
    5-Moi qui me disais catholique, comment était-il possible que je n'ai aucune connaissance à ce niveau ? Oui, comment était-il possible que je ne sache pas ce qui était arrivé à mes frères et sœurs chrétiens au fil des siècles ? Il y avait là une immense lacune qu'il me fallait combler à tout prix.
         
    6-Et c'est ainsi qu'en écoutant ce prêtre, j'ai découvert peu à peu que l'histoire du salut ne s'était pas arrêtée avec la descente du Saint Esprit sur les apôtres mais que ce même Esprit Saint avait continué d'agir au fil des siècles et qu'il avait aidé les chrétiens à faire progresser le Royaume de Dieu ici-bas. Ah, quel bonheur d'entendre les cours sur les rapports entre l'Eglise et le système féodal, sur la naissance des grands ordres monastiques, la Réforme Grégorienne, le temps des Cathédrales, la Renaissance, le Concile de Trente, les missions, les défis de la modernité... Mon Dieu, comment avais-je pu vivre autant d'années sans rien savoir de tout cela ?
         
    7-En découvrant l'Histoire de l'Eglise, je redécouvrais également l'histoire des hommes, mais sous un angle totalement différent : celui de l'amour de Dieu. Je découvrais par exemple comment les chrétiens s'étaient situés par rapport aux événements de leur temps, comment ils avaient apporté des réponses, comment ils avaient évité les pièges, comment ils s'étaient régénérés eux-mêmes dans les périodes difficiles où la foi vacillait. Je découvrais également comment la Vierge Marie en personne était intervenue aux heures les plus sombres, appelant inlassablement ses enfants à ouvrir leur cœur à Dieu.
        
    8-L'Histoire de l'Eglise m'a réconcilié avec l'Histoire des hommes car quand on met Jésus au centre, tout prend un sens. L'histoire des hommes n'est plus alors une simple succession de guerres et de conflit mais elle devient une histoire d'amour, l'histoire de l'amour immense de Dieu qui ne cesse de rechercher ses enfants pour les ramener à Lui. Cette merveilleuse et passionnante Histoire est celle-là même qui a commencé dans l'Ancien Testament. Elle se poursuit aujourd'hui encore et elle n'aura jamais de fin.
        
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  • Comme un enfant a besoin de connaître l'histoire de ses parents, un chrétien a besoin de connaître l'histoire de son Eglise. Les racines spirituelles sont tout aussi importantes que les racines terrestres pour qui cherche à savoir d'où il vient.

     
    L'Eglise des origines
    (du Ier au Ve siècle)
    ~
    Suppléments : 
    Les persécutions et le triomphe du christianisme
         
    L'Eglise du Moyen-Age :
    Pilier de l'Europe et victime du système féodal
    (du Ve au XIe siècle)
    ~
    Suppléments :
    Saint Benoît : le père du monachisme occidental
        
    L'Eglise du Moyen-Age :
    Un souffle nouveau venu des grands ordres monastiques
    (du XIe au XIIIe siècle)
    ~
    Suppléments :
    Les Seigneurs et la nomination des abbés
    dans les grands ordres monastiques
    (du XIe au XIIIe siècle) 
        
    L'Eglise du Moyen-Age :
    Un souffle nouveau venu de la Réforme Grégorienne
    (du XIe au XIIIe siècle)
    ~
    Suppléments :
    La douloureuse question de l'Inquisition
        
    L'Eglise du Moyen-Age :
    Le temps des cathédrales
    (du XIIe au XIVe siècle)
    ~
    Suppléments :
    Les deux principales sources de conflit
    entre les Papes et les souverains du Moyen-Age
    Peste noire, guerre de cent ans, avancée de l'Islam:
    La difficile sortie du Moyen-Age
    (XIVe et XVe siècles)
    Le bilan de l'Eglise missionnaire au Moyen-Age
        
    Le monde de la Renaissance
    et l'apparition de l'Humanisme
    (du XVe au XVIIe siècle)
        
    L'Eglise de la Renaissance :
    Une nouvelle crise du clergé qui
    ressemble à celle du Moyen-Age
    (du XIVe au XVIe siècle)
        
    L'Eglise de la Renaissance :
    L'effondrement de la papauté et des ordres monastiques
    (du XIVe au XVIe siècle)
        
    L'Eglise de la Renaissance :
    La résurrection et le Concile de Trente
    (XVIe siècle)
        
    L'Eglise de la Renaissance :
    La résurrection des ordres monastiques
    (XVIe siècle)
    ~
    Suppléments :
    Contre-réforme catholique :
    La France rattrape son retard
    grâce au génie de saint Vincent de Paul
    (XVIIe siècle)
    Le bilan de l'Eglise missionnaire à la Renaissance
        
    -XI-
    L'Eglise à l'époque des Lumières :
    Face au mirage de la science et de la raison
    (XVIIIe siècle)
        
    L'Eglise à l'époque des lumières :
    Le traumatisme de la Révolution Française
    (XVIIIe siècle)
        
    L'esprit missionnaire sauve l'Eglise de France
    après la Révolution
    (XIXe siècle)
        
    -XIV-
    Malgré un grand élan missionnaire,
    la victoire de l'Eglise n'est pas totale
     (XIXe siècle)
    ~
    Suppléments :
    Le bilan de l'Eglise missionnaire au XIXe siècle
        
    NOTE
        
    Les principaux messages ont été rédigés à partir  de notes  prises  lors de conférences données par le père Bernard Peyrous (communauté de l'Emmanuel) sur l'histoire de l'Eglise. Ces notes ont été complétées par la suite à l'aide d'encyclopédies (Tout l'Univers, Théo…).
        
    Les articles concernant le XXe siècle
    sont en cours de rédaction.
    Patience !
       
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  • Saint Jean Bosco (1815-1888) - le saint patron des éducateurs - a été gratifié de nombreux songes prophétiques. Parmi eux, celui "des trois blancheurs". En voici le récit :
        
    J'ai vu une grande bataille sur la mer : le navire de Pierre, piloté par le Pape et escorté de bateaux de moindre importance, devait soutenir l'assaut de beaucoup d'autres bâtiments qui lui livraient bataille.
        
    Le vent contraire et la mer agitée semblaient favoriser les ennemis.
    Mais au milieu de la mer, j'ai vu émerger deux colonnes très hautes : sur la première, une grande Hostie – l'Eucharistie – et sur l'autre (plus basse) une statue de la Vierge Immaculée avec un écriteau : Auxilium christianorum.
        
    Le navire du Pape n'avait aucun moyen humain de défense. C'était une sorte de souffle, qui provenait de ces deux colonnes, qui défendait le navire et réparait aussitôt tous les dégâts.
    La bataille se faisait toujours plus furieuse; le Pape cherche à se diriger entre les deux colonnes, au milieu d'une tempête de coups. Tandis que les armes des agresseurs sont en grande partie détruites, s'engage une lutte corps à corps.
        
    Une première fois, le Pape est gravement blessé, mais ensuite il se relève; puis une seconde fois… et cette fois il meurt tandis que les ennemis exultent.
    Le nouveau Pape, élu immédiatement après, reprend la barre et réussi à atteindre les deux colonnes, y accrochant avec deux chaînes le navire, qui est sauvé, tandis que les bateaux ennemis fuient, se détruisent réciproquement, et coulent.
        
    Ce rêve a laissé troublés plus de 500 jeunes qui étaient réunis, comme tous les soirs, pour écouter Don Bosco, au mois de mai 1862. C'est seulement le matin suivant qu'il leur expliqua le sens de ce songe. De graves persécutions et tourments attendent l'Eglise; il reste deux seuls moyens pour la sauver : Marie et l'Eucharistie.