• Une petite réflexion de votre serviteur...
        
    A quelques rares exceptions près, les messages que la Vierge Marie nous donne à Medjugorje commencent toujours par : Chers enfants.

       
    Ce sont là deux mots extraordinaires.
    A chaque fois que nous les lisons, nous sentons qu'il s'en dégage un doux parfum d'éternité.

        
    En effet, cela fait très longtemps que le destin de la Mère de Dieu et celui de l'humanité sont liés.
    Le 5 août 2014, nous allons fêter le 2030ème anniversaire de Marie !

    Après toutes ces années, on aurait pu s'attendre à ce que la Vierge nous considère non pas comme ses enfants, mais plutôt comme ses petits-enfants (avec un tiret), ou ses arrière-petits-enfants, ou ses arrière-arrière-petits-enfants...
        
    Mais non. Il n'en est rien.
    Malgré les siècles et les deux millénaires qui se sont écoulés, la Sainte Vierge n'est pas devenue grand-mère, ni arrière-grand-mère, ni arrière-arrière-grand-mère...

    Elle est restée la Mère en âge d'enfanter, en âge d'enfanter spirituellement les hommes du monde entier à son Fils Jésus.
        
    O mystère ineffable de l'éternelle jeunesse de Marie et des âmes consacrées qui n'ont pas de descendance selon la chair, ici-bas, mais uniquement selon l'esprit !
        
    Voir aussi :
    L'aventure de M. Lo
    urdingue n°99 >>


  • Voici une petite juxtaposition de messages que la Vierge a donnés à Medjugorje, au début des apparitions, et qui montrent bien son humilité.
        
    Chers enfants,

        
    Si vous avez quelque problème que ce soit, appelez-moi, je viendrai aussitôt et vous aiderai en vous conseillant pour résoudre au mieux la difficulté (04/03/82).
    Je ne dispose pas de toutes les grâces. Je reçois de Dieu ce que j’obtiens par la prière (31/08/82).
    Je suis la Mère sortie du peuple, je ne peux rien sans l’aide de Dieu. Moi aussi je dois prier comme vous (29/08/82).
    Je ne suis pas Dieu (Avent 83).
        
    Priez pour les malades. Croyez fermement. Je viendrai en aide selon mon pouvoir. Je demanderai à mon Fils Jésus de les aider (09/02/82).
    Moi, je ne peux pas guérir. Dieu seul guérit (Avent 1983).
        
    Je vous en supplie, priez Jésus. Je suis sa Mère et j’intercède pour vous, avec Lui. Mais toutes les prières vont à Jésus (Avent 1983).
        
    Jésus préfère que vous vous adressiez directement à Lui plutôt qu’à un intermédiaire. Cependant, si vous désirez vous donner totalement à Dieu et si vous désirez que je sois votre protectrice, alors confiez moi toutes vos intentions, vos jeûnes et vos sacrifices pour que j’en dispose selon la volonté de Dieu (04/09/82).
        
    Priez, priez et croyez fermement (24/04/82).
    Priez tant que vous pouvez. Priez comme vous pouvez, mais priez toujours davantage (24/04/84).
    J’ai besoin de vos prières (23/11/81).
    J’ai besoin de vos sacrifices et de vos prières pour m’aider (Avent 83).
    Je ne peux pas aider celui qui ne prie pas et ne se sacrifie pas (18/08/82).

    Tout ne dépend pas uniquement de moi, mais aussi de votre force, de la force de ceux qui prient (Avent 1983).
        
    Merci d’avoir répondu à mon appel.


  • Voici une très belle phrase qu'un prêtre a dite dans un sermon :
        
    La parole de la Mère, c'est la parole des entrailles du Père.


  • Dans son livre "Evénements de l'Ile Bouchard", le Père Bernard Perous a publié le témoignage de Jacqueline Aubry qui a vu la Sainte Vierge en 1947, avec trois de ses camarades. En voici deux extraits.
        
    Mais, ce qu'on a contemplé et admiré ce sont ses yeux. Alors là, les yeux de Marie, c'est quelque chose d'extraordinaire. Nous, on les a vu bleus, d'un bleu qu'on ne trouve pas sur terre. En définitive, ce bleu, c'est tout ce qu'on connaît de Marie. C'est toute cette bonté, toute cette douceur, toute cette tendresse. Et nous enfants, ce qui nous a frappés, c'est une grande pureté qui émanait de ce magnifique regard bleu de cette belle dame (...). On a vu les yeux bleus de l'ange Gabriel, mais pas du tout la même expression que le regard de Marie.
        
    Puis une dernière fois Elle nous regarde avec des yeux qu'on ne peut oublier. Je vous disais : un bleu qu'on ne trouve pas sur la terre, mais qui est plein de bonté, de tendresse, de douceur et surtout de grande pureté. Puis tout en souriant elle disparaît dans sa belle poussière de lumière.


  • Le Magnificat, cette prière de louange et d'action de grâce que la Sainte Vierge a dite au moment de la Visitation, contient de nombreuses références à l'Ancien Testament (source : fiche donnée lors d'une formation diocésaine).

        

    Mon âme exalte le Seigneur,
    Mon cœur exulte en Yahvé
    (1 Samuel 2, 1).

    Exulte mon esprit en Dieu, mon Sauveur !
    J'exulte en Dieu mon Sauveur
    (Habaquq 3, 18).

    Il s’est penché sur son humble servante;

    Yahvé Sabahot, si tu voulais considérer la misère de ta servante, te souvenir de moi, ne pas oublier ta servante et lui donner un petit d'homme (1 Samuel 1, 11).

    Désormais tous les âges me diront bienheureuse.
    Pour ma félicité, car les femmes me féliciteront
    (Genèse 30, 13).

    Le Puissant fit pour moi des merveilles :
    Saint est son nom !
    Il envoie la délivrance à son peuple. Il déclare pour toujours son alliance. Saint et redoutable est son nom
    (Psaume 111, 9).

    Son amour s’étend d’âge en âge
    Sur ceux qui le craignent.
    Mais l'amour de Yahvé pour qui le craint est de toujours à toujours
    (Psaume 103, 17).

    Déployant la force de son bras,
    Il disperse les superbes.
    C'est toi qui fendis Rahab comme un cadavre; dispersas tes adversaires par ton bras de puissance
    (Psaume 89, 11).

    Il renverse les puissants de leurs trônes,
    Il élève les humbles.
    Il fait marcher nu-pieds les prêtres et renverse les puissances établies
    (Job 12, 19).

    Il comble de biens les affamés,
    Renvoie les riches les mains vides.
    Il rassasiera l'âme vide, l'âme affamée, il la comblera de biens
    (Psaume 107, 9).

    Il relève Israël, son serviteur;
    Il se souvient de son amour,
    Et toi Israël mon serviteur, Jacob que j'ai choisi, race d'Abraham, mon ami, toi que j'ai choisi aux extrémités de la terre
    (Psaume 41, 8-9).

    De la promesse faite à nos pères,
    En faveur d’Abraham et de sa race, à jamais.
    Par ta postérité se béniront toutes les nations de la terre, parce que tu m'as obéi
    (Genèse 22, 18).