• Ces images bouleversantes sont tirées du film de Franco Zeffirelli : "François et le chemin du soleil" (1972).
        
    Sainte Claire et saint François d'Assise ont organisé un temps de prière pour les pauvres et là, tandis que l'assemblée chante, sainte Claire (qui était gratifiée du don des larmes) pleure de joie. Le passage se situe à la 85ème minute du film >>

        

        
    Lien :

    Le don des larmes >>


  • Une rubrique pour parler des "petits".

        

        

    Témoignage

    SI DIEU AVAIT VOULU METTRE NOTRE CHERE SOEUR CLARISSE EN VALEUR, IL NE S'Y SERAIT PAS PRIS AUTREMENT (07/11/10)

    Dans la ville où j'habite, il y a un monastère de clarisses que je fréquente depuis de très nombreuses années.

    Au début des années 90, quand j'ai commencé à m'intéresser à Medjugorje, j'ai demandé à une sœur que je connaissais bien s'il y avait des sœurs qui croyaient aux apparitions de la Gospa, dans le monastère. Elle m'a répondu que oui.

    Il y en avait notamment une qui y croyait très fort. C'était une sœur qui s'occupait de la cuisine. Elle était très pieuse. Elle récitait le Rosaire tous les jours et elle avait une très grande dévotion à la Sainte Vierge. Elle croyait vraiment beaucoup à Medjugorje.

    Sur un petit morceau de papier qu'elle avait glissé dans l'un de ses livres de prières, elle avait même recopié un message de la Vierge : "Si vous vous abandonnez à moi, vous ne vous apercevrez pas du passage de cette vie à l'autre. Vous vivrez la vie du ciel sur la terre".

    Cette sœur ne faisait pas de bruit. Elle était très discrète et toujours souriante.

    Au fil des années, elle a dû arrêter la cuisine car elle ne pouvait plus se déplacer à cause de son âge. Elle devait rester dans un fauteuil roulant. Là, elle ne se plaignait jamais. Et son sourire ne la quittait jamais.

    Un jour, elle a dit à une sœur : "Je suis heureuse". Ce ne sont que quelques mots, quelques mots qui, en eux-mêmes, n'ont rien d'extraordinaire. Mais je suis certain qu'ils ont résonné d'une manière toute particulière dans l'oreille de Dieu. Je suis également convaincu que, par sa vie entièrement faite d'humilité, d'obéissance et de simplicité, cette sœur a énormément plu à Dieu.
    D'ailleurs - il faut que je vous le dise - Lui-même s'est arrangé pour la mettre en valeur aux yeux des hommes. Voici comment.

    Le 11 août 2010, c'était la fête de Sainte Claire. Il s'agit d'un moment très important pour les clarisses car elles fêtent la fondatrice de leur ordre.

    Pour la messe de 10h30, la chapelle était pleine. Plusieurs prêtres étaient également présents, et, pour présider la célébration, notre évêque avait fait le déplacement.

    Environ 30 minutes avant la messe, on a senti qu'il y avait de l'agitation parmi les sœurs et les prêtres. Soudain, une soeur est venue annoncer à l'assemblée que Dieu venait de rappeler à Lui cette sœur qui croyait si fortement à Medjugorje. Elle a dit que l'eucharistie débuterait sûrement avec un peu de retard et, en attendant, elle a invité les fidèles à prier le chapelet. Et là, toute l'assemblée, profondément bouleversée par ce qui venait de se passer, a prier des dizaines de chapelet.

    Chers amis, l'épisode que je viens de vous raconter là est le plus intense et le plus riche au niveau émotionnel qu'il m'ait été donné de vivre chez mes chères sœurs clarisses depuis que je les connais. J'y repense extrêmement souvent.

    Et chaque fois que je repense à la mort de cette sœur, le 11 août 2010, jour de la Sainte Claire, juste avant la messe et en présence de l'évêque ainsi que de plusieurs prêtres, je me dis toujours : "Si Dieu avait voulu mettre notre chère sœur clarisse en valeur, il ne s'y serait pas pris autrement".