• TEMOIGNONS DES GRÂCES QUE NOUS AVONS RECUES : Fou rire chez le coiffeur

    Medjugorje : "Je vous invite tous, petits enfants, à vivre et à témoigner des grâces et des dons que vous avez reçus" (le 25/12/17)

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    Humour
    FOU RIRE CHEZ LE COIFFEUR
    (26/01/19)
    Récemment, je suis allé chez le coiffeur pour me faire couper les cheveux. Nous avons eu un énorme fou rire.
    A un moment donné, tandis que nous parlions de la pluie et du beau temps, il m'a dit : "Et bien dites donc, il en est beaucoup tombé !"
    Sur le moment, j'ai eu peur car j'ai cru qu'il me parlait de mes cheveux ! En fait, il voulait parler de la neige !
        
    Nourriture
    LES DEUX DERNIERES TRANCHES DE PAIN
    (14/08/18)
    Ce témoignage a été envoyé par Yolande le mardi 14 août 2018 :
    Bonjour. Je viens chaque jour sur le site Chère Gospa et, il y a 2 jours, j'ai vu à quel point le Seigneur était attentif à nos besoins. Dieu étonne son peuple.
    Je suis handicapée et dans l'impossibilité de quitter seule mon domicile. Depuis le décès de mon mari, c'est toute une organisation pour le ravitaillement : commandes sur internet, livraisons toutes les 3 semaines...
    De temps en temps, quand il me manque du pain, je demande à ma voisine de m'aider. Mais comme ce sont les vacances, ma voisine est partie et la dame qui se rend habituellement pour moi à la pharmacie est partie elle aussi. Et la boulangerie la plus proche est fermée.
    Récemment, il ne me restait plus que 2 tranches de pain au congélateur et je devais attendre encore 7 jours avant le prochain ravitaillement.
    C'est alors que le téléphone a sonné. La dame qui se rend pour moi à la pharmacie était revenue de voyage plus tôt que prévu. Elle devait aller au supermarché et m'a demandé si j'avais besoin de quelque chose !
    Merci Seigneur de veiller sur chacun de tes enfants !
        
    Voiture
    L'INCROYABLE HISTOIRE DU CONTRÔLE TECHNIQUE
    (28/07/18)
    Ma mère a une voiture qui a plus de quatre ans. Tous les deux ans, elle doit donc la faire passer au contrôle technique.
    Lors du dernier contrôle, qui a eu lieu il y a quelques semaines, le technicien a détecté quelques défaillances critiques. Il y avait notamment une grosse pièce qu'il fallait remplacer rapidement.
    Ma mère a donc emmené son véhicule chez le garagiste où elle a l'habitude d'aller (c'est une personne de toute confiance qu'elle connaît depuis de très nombreuses années) pour qu'il lui fasse un devis. Le garagiste a regardé tout ce qu'il fallait faire - et notamment cette grosse pièce qu'il allait falloir remplacer - et il lui a dit qu'il y en aurait pour 1 200 euros.
    Ma mère a trouvé cela un peu cher, certes, mais, n'ayant pas d'autre choix, elle a signé le devis et elle a laissé sa voiture au garage.
    Deux jours plus tard, en fin de journée, elle a reçu un coup de fil du garagiste. Elle se souvient très bien de ce jour car c'était le jour du pique-nique annuel de notre groupe du Rosaire (le 26 juillet 2018).
    Le garagiste lui a dit que la voiture était prête et qu'elle pouvait venir la chercher quand elle le souhaitait.
    Il lui annoncé également cette nouvelle absolument étonnante : la facture ne serait pas de 1 200 euros mais de... 400 euros. En effet, la grosse pièce signalée par le contrôle technique était en parfait état de marche et elle n'avait absolument pas besoin d'être remplacée. C'est vraiment incroyable, vous ne trouvez pas ?
    Cette histoire nous a beaucoup marqués car les gens du contrôle technique et le garagiste sont des professionnels que nous connaissons bien et en qui nous avons toute confiance. Nous ne parvenons donc pas à nous expliquer comment une telle chose a pu arriver. Serait-il possible qu'il y ait eu une erreur d'appréciation au niveau du contrôle technique ? Cela, Dieu seul le sait !
    En tous les cas, le fait que la facture ait été divisée par trois a été une excellente nouvelle pour ma mère et, aujourd'hui encore, elle y repense et rend grâce à Dieu !
        
    Confession
    LA CONFESSION DU 3 MARS 2018
    (10/03/18)
    Le samedi 24 février 2018 - dernier samedi du mois -,j'ai cru que nous étions le premier samedi de mars et, ainsi que la Sainte Vierge nous l'a demandé à Medjugorje, je suis allé me confesser au monastère des Clarisses de ma ville. Je ne sais pas pourquoi j'ai fait cette erreur...
    Ce n'est que le lendemain (c'est-à-dire le dimanche 25 février) que j'ai réalisé que je m'étais trompé d'une semaine. Comme on dit toujours que tout est grâce et que rien n'arrive jamais par hasard, je me suis dit qu'il y avait sûrement une raison pour laquelle Dieu avait permis que je fasse cette erreur. Mais quelle était cette raison ?
    En fait, j'ai eu la réponse le lundi matin (c'est-à-dire le lundi 26 février) en arrivant au monastère pour la Messe du matin. Sur la porte d'entrée de la chapelle, en effet, les sœurs Clarisses avaient placé un petit papier sur lequel on pouvait lire ceci : "Exceptionnellement, il n'y aura pas de permanence de confessions le samedi 3 mars".
        
    Cuisine
    LES DEUX CUISSES DE POULET DU JOUR DE L'AN
    (02/01/18)
    Je ne sais pas du tout ce que nous réserve l'année 2018. Mais vu la manière dont elle a commencé pour moi, je me dis que l'on risque de voir des choses tout à fait étonnantes ! Si vous le voulez bien, je vais vous raconter une grâce absolument incroyable reçue le 1er janvier...
        
    Le samedi 30 décembre 2017, en fin d'après-midi, ma mère m'a dit : "Oh zut ! J'ai oublié d'acheter de la viande pour lundi. Et comme c'est le 1er janvier, les boucheries seront fermées. Je vais donc vite retourner en ville pour en acheter".
        
    Comme il était environ 17h30 - l'heure à laquelle nous prions habituellement le Rosaire, chez moi -, je lui ai dit : "Ne t'inquiète pas pour ça. Je suis certain qu'il y aura une boucherie d'ouverte lundi. De nos jours, les commerces sont ouverts même les jours fériés. Alors ne te fais pas de souci et commençons le Rosaire".
        
    Le lundi 1er janvier est arrivé. Le matin, ma mère est allée faire ses courses et, en revenant, elle était très excitée. Elle m'a dit : "Tu n'imagineras jamais ce qui vient de se passer ! C'est vraiment extraordinaire !"
    Mais voici plutôt ce qu'elle m'a raconté :
        
    En arrivant en ville, elle s'est aperçue que toutes les boucheries qu'elle connaissait étaient malheureusement fermées. C'est alors qu'elle est entrée dans une pâtisserie pour demander à la vendeuse si elle savait s'il y avait une boucherie d'ouverte quelque part. La vendeuse lui a répondu : "Non, elles sont toutes fermées aujourd'hui. Vous n'en trouverez aucune d'ouverte".
        
    Et là, dans la pâtisserie, une dame âgée qui était venue acheter quelques gâteaux s'est discrètement approchée de ma mère et elle lui a dit ces mots à peine croyables dans le creux de l'oreille : "Madame, j'ai des cuisses de poulet dans mon réfrigérateur. Si vous le voulez, je peux vous en donner deux. J'habite juste à côté".
       
    Comme vous l'imaginez, ma mère a été extrêmement surprise. Dans les commerces, en effet, vous pouvez éventuellement rencontrer des personnes qui accepteront de vous dépanner de un ou deux centimes si vous manquer d'argent... mais des personnes qui vous proposent de vous donner deux cuisses de poulet, comme ça, avouez que c'est rarissime ! D'autant plus que ma mère n'avait jamais vu cette dame auparavant !
        
    Voyant que la dame insistait, ma mère a donc accepté de la suivre jusque chez elle. Et là, la dame a ouvert son réfrigérateur et elle en a sorti deux énormes cuisses de poulet.
       
    En voyant les deux cuisses, ma mère lui a dit immédiatement qu'elle allait les lui payer. Mais au moment même où elle a sorti un billet de son porte-monnaie, le mari de la dame est entré dans la pièce.
        
    Comme il se demandait ce qui se passait, sa femme lui a expliqué toute l'histoire. Voyant ma mère avec son billet à la main, l'homme a dit : "Madame, il est hors de question que l'on vous fasse payer ces deux cuisses de poulet ! Emportez-les chez vous et quand vous les mangerez, vous penserez à nous !"
        
    Cette histoire est complètement invraisemblable, quand on y pense. D'une certaine manière, elle me fait penser à cette autre histoire qui est arrivée à la voyante Marija Pavlovic-Lunetti. Un jour, alors qu'elle était dans sa cuisine et qu'elle préparait du café pour ses invités, à Medjugorje, Marija s'est aperçue qu'elle n'avait plus de sucre. Et là, à ce moment précis, comme par miracle - et alors que Marija n'avait rien dit à personne -, quelqu'un lui a fait passer un kilo de sucre par la fenêtre de sa cuisine !
        
    Mais surtout, cette histoire m'inspire l'idée qu'il faut voir l'année qui vient avec une très grande confiance. En effet, si Dieu est capable de faire des miracles dans les petites choses de notre vie quotidienne, alors combien plus en fera-t-il pour les choses qui sont vraiment très importantes, comme par exemple : la vie spirituelle, la vie familiale, la vie professionnelle... Oui, combien plus nous aidera-t-il dans tout ce qui est absolument essentiel pour nous ! Alors, voyons l'avenir avec confiance et, en ce début d'année, soyons dans la joie !
         
    Cuisine
    L'HISTOIRE DE LA QUICHE LORRAINE
    (26/12/17)
    Dans le message qu'elle nous a donné le 25 décembre 2017, à Medjugorje, la Sainte Vierge nous a dit : "Je vous invite tous, petits enfants, à vivre et à témoigner des grâces et des dons que vous avez reçus".
        
    Si vous me le permettez, j'aimerais saisir cette occasion pour terminer cette année 2017 en vous racontant une grâce tout à fait étonnante que j'ai reçue récemment.

        
    Il y a quelques jours, ma mère est allée passer un examen médical dans une clinique qui est située à environ 30 kilomètres de chez moi.
        
    Le matin, vers 8h, une ambulance est venue la chercher. Comme c'était un mercredi (jour de jeûne), il n'y avait pas de repas à préparer. Ma mère, qui ne jeûne pas encore de manière régulière, s'était juste achetée une petite quiche lorraine pour midi.
        
    Avant de partir, elle m'a dit : "Je ferai chauffer la quiche dans le four quand je serai de retour. Ne t'en occupe pas car je ne sais pas à quelle heure je rentrerai. Mais je risque d'être absente pendant un bon moment. En effet, il y a toujours beaucoup de monde qui attend, dans ces cliniques, et il se peut que je ne n'arrive pas avant 15h".
         
    Aux alentours de 11h30, l'idée m'est venue de mettre la quiche dans le four et de la faire chauffer. En effet, je me suis dit que dans le cas où ma mère arriverait plus tôt que prévu, la quiche serait prête. Je l'ai donc mise dans le four pour 40 minutes, à 225°.
        
    Quelques minutes plus tard, le téléphone sonne. C'était ma mère. Elle était dans l'ambulance. L'ambulancier lui avait prêté son téléphone portable.
    Elle m'a dit d'un air joyeux : "C'est bon, tout va bien ! Les médecins m'ont dit que j'étais en bonne santé et que tout allait bien ! Nous sommes sur le chemin du retour ! Nous arriverons dans 25 minutes !"
        
    J'ai raccroché le téléphone et, par curiosité, j'ai regardé la minuterie du four. Et là, je me suis aperçu qu'elle indiquait qu'il restait exactement 25 minutes ! C'est incroyable, non ? Mais attendez, l'histoire n'est pas finie.
        
    Un moment après, l'ambulance s'est garée devant chez moi. Ma mère est descendue, elle a frappé à la porte. Je suis allé lui ouvrir et, en entrant, elle m'a redit avec un grand sourire : "Tout va bien ! Je suis en bonne santé !"
        
    Et là, juste au moment où j'ai refermé la porte - et à la seconde précise où la clef a fait "clic" dans la serrure -, un bruit est venu de la cuisine : "Ding !"
    C'était la minuterie du four. Elle indiquait que la quiche était prête !
        
    Merci Vierge Marie, de t'occuper si bien de nous ! Oui, merci de t'occuper de nous jusque dans les plus petits détails de notre vie quotidienne !!