• Un petit témoignage de votre serviteur (à lire avec un certain humour).
        
    L'Esprit Saint accorde parfois aux hommes des dons tout à fait extraordinaires. Parmi ces dons (qui sont très nombreux), il y a celui de pouvoir parler et comprendre d'autres langues sans jamais les avoir apprises à l'école. Oui, cela existe. Un jour, à Medjugorje, un guide m'a même confié que c'était la Sainte Vierge elle-même qui avait donné aux six voyants (je ne sais pas si c'est vrai) le don de pouvoir parler couramment l'Italien...
      
    Et bien figurez-vous qu'à la communauté Emmaüs de ma ville, il m'est souvent arrivé d'être témoin de "prodiges linguistiques" encore plus extraordinaires que cela. Laissez-moi vous donner un exemple qui est extrêmement récent. L'histoire, en effet, s'est passée aujourd'hui.
        
    Ce midi, à la communauté, j'ai mangé avec un couple d'Arméniens. Elle et lui sont arrivés en France il y a très peu de temps. Ils parlent et comprennent encore très mal le Français. Nous avons toutefois réussi à avoir une petite "conversation" grâce à "Charles Aznavour" (en effet, ils connaissent très bien ce chanteur, qui vient de leur pays, et ils l'aiment beaucoup).
        
    A un moment donné, un compagnon espagnol est entré dans la salle à manger. Il tenait dans ses mains un outil très compliqué à utiliser. Il s'agissait d'un outil servant à couper les plus hautes branches des arbres (l'outil était doté notamment d'un bras télescopique).
    Ce compagnon espagnol (qui parlait et comprenait lui aussi très mal le Français) a voulu expliquer au compagnon arménien comment se servir de cet outil.
    Il lui a donné ses explications en parlant dans notre langue, et ce avec un très fort accent espagnol. Son accent était si fort que même moi (qui suis pourtant Français), j'ai eu énormément de mal à le suivre. D'autant plus qu'il faisait des fautes de Français.

        
    Vous me croirez si vous voulez, mes chers amis, mais je puis vous assurer qu'après que le compagnon espagnol ait eu fini de donner ses explications, le compagnon arménien, qui l'avait écouté avec beaucoup d'attention, avait tout compris de ce qu'il venait de lui dire et il savait très bien se servir de l'outil.
       
    C'est là un très grand mystère dont j'ai souvent été témoin, à Emmaüs : deux compagnons venant de pays très éloignés et de culture complètement différentes peuvent parfaitement arriver à se comprendre en Français, alors même que l'un et l'autre parlent et comprennent encore très mal cette langue (et alors même que les Français eux-mêmes ont du mal à les suivre quand ils s'expriment). Quelle merveille ! Quelle prodige !!


  • Voici quelques messages concernant le don de guérison de Frère André, qui a été canonisé en 2010 (source : "Une pensée par jour" / Mediaspaul).

        

    Frère André parle au Père Cousineau

    Le Père Cousineau (le supérieur de Frère André) lui a demandé un jour comment il s'y prenait pour guérir les malades. Voici la réponse de Frère André :

    Quand je vois que j'ai affaire à un pécheur, je lui rappelle que son âme a été rachetée par le sang de notre Seigneur. Et alors je l'encourage à aller se confesser et à communier souvent. Je raconte aux visiteurs la Passion de Notre Seigneur.

        

    Le témoignage du Père Emile Deguire

    Frère André avait le don de guérisseur à son insu. Un jour, je lui ai dit :

    C'est curieux, Frère André. Dans certains cas, vous dites aux malades : "Vous êtes guéri", et c'est fait. Parfois, vous conseillez de prier saint Joseph, de faire des neuvaines; à d'autres vous dites de se frictionner avec une médaille, de se servir de l'huile de saint Joseph. D'autres fois, vous dites : "Je m'en vais prier pour vous". Pour quelles raisons cette différence ? Il m'a répondu : "Quand je dis à quelqu'un : lâchez vos béquilles, c'est que c'est évident qu'il va guérir".


  • Religieuse irlandaise mondialement connue pour ses prédications et son don de guérison, sœur Briege Mc Kenna (de l'ordre des sœurs clarisses) nous parle de la guérison (extrait d'une interview parue dans le journal "Famille chrétienne") : "Si l'esprit n'est pas guéri, si la personne ne se rapproche pas de Jésus, à quoi bon guérir physique-ment ? C'est la guérison intérieure qui est la plus importante. On n'a pas besoin de ses yeux ou de ses jambes pour aller au Ciel, mais d'une âme en bonne santé (…). J'ai compris que ma mission était d'aider les gens à dire oui à Dieu : c'est cela la guérison".


  • Deux personnes se font face. La première étend ses mains au-dessus de la tête de la deuxième, et, aussitôt après, cette dernière tombe apparemment "inerte" sur le sol. Que lui est-il arrivé pour qu'elle "s'effondre" ainsi ? La première lui a-t-elle asséné un coup violent sur le crâne ? Non ! L'a-t-elle blessée avec une arme dissimulée dans sa main ? Non ! Simplement, l'Esprit Saint est passé entre ces deux personnes, et celle qui est à terre fait l'expérience de ce que l'on appelle "le repos dans l'esprit". Elle n'est pas morte ! Pas du tout ! Elle est juste plongée, pendant un moment, dans une "paix divine". - Si vous voulez approfondir votre connaissance de ce charisme très répandu dans l'Eglise actuelle, et ceci en lisant le témoignage de Yolaine, cliquez ici >>
        
    PS : Le père Jozo Zovko était le responsable de la paroisse de Medjugorje à l'époque des premières apparitions. Il possède ce charisme.


  • Dans la prière pour les malades que la Vierge Marie a donnée à la voyante du coeur Jelena, à Medjugorje, il y a la phrase suivante :
    Le plus important, c'est la santé de l'âme.
    Chez Maria Valtorta, on retrouve également cette idée. Voici en effet une phrase de Jésus qu'elle rapporte dans "L'évangile tel qu'il m'a été révélé" (Tome 3, chapitre 1) :
    Mes principales oeuvres, celles qui témoignent davantage de ma nature et de ma mission, celles que mon Père regarde avec joie, ce sont les guérisons du coeur, soit les guérisons d'un vice ou de plusieurs vices capitaux, soit les désolations qui abattent par la persuasion d'être frappés par Dieu et condamnés par Lui.