• Voici une prière et un conseil de Saint Frère André pour apprendre à mieux prier saint Joseph.
        

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    Une prière :
    Saint Joseph, priez pour moi comme vous auriez prié si vous aviez été vous-mêmes sur la terre à ma place, dans mes difficultés.
        
    Un conseil :
    Allez prier devant la statue de saint Joseph et dites-lui : si vous étiez à ma place, saint Joseph, qu'est-ce que vous voudriez qu'on vous fasse ? Et bien, faites-le pour moi.


  • Voici une très belle citation de sainte Thérèse de l'Enfant Jésus qui est tirée du livre : "Histoire d'une âme".
        
    Un savant a dit : "Donnez-moi un levier, un point d'appui, et je soulèverai le monde".
        
    Ce qu'Archimède n'a pu obtenir parce que sa demande ne s'adressait point à Dieu et qu'elle n'était faite qu'au point de vue matériel, les Saints l'ont obtenu dans toute sa plénitude.
        
    Le Tout-Puissant leur a donné pour point d'appui : Lui-même, et Lui seul. Pour levier : l'oraison, qui embrase d'un feu d'amour, et c'est ainsi qu'ils ont soulevé le monde, c'est ainsi que les Saints encore militants le soulèvent et que jusqu'à la fin du monde les Saints à venir le soulèveront aussi.


  • Une petite pensée de votre serviteur...
        
    Si l'on met la discussion au-dessus de tout et si l'on pense que c'est en parlant que l'on peut tout obtenir, alors on finit tôt ou tard par s'apercevoir que l'on rabâche.
         
    Si l'on met l'action au-dessus de tout et si l'on pense que c'est en agissant que l'on peut tout obtenir, alors on finit tôt ou tard par s'apercevoir que l'on tourne en rond.
         
    Par contre, si l'on met la prière et la conversion à la première place, on n'est jamais déçu. On a vraiment l'impression que l'on avance.
         
    Je pense que cela vient du fait que Dieu est éternel et que, ne vieillissant pas et étant donc jeune à jamais, il est en mesure de renouveler à chaque instant nos pensées, nos paroles, nos actes... et ce à travers la prière et la conversion.
        
    Et c'est sûrement là ce qui explique que Dieu ait autant besoin de nos jeûnes et de nos prières...


  • Voici ce que sainte Thérèse de l'Enfant Jésus a dit au vénérable Marcel Van dans une locution intérieure (source : "L'amour ne peut mourir", du Père Marie-Michel).
         
    THERESE : Maintenant, petit frère, aie la patience de m'écouter... Je sais que tu redoutes encore une chose, voici : ne crains pas de te montrer familier avec le Bon Dieu comme avec un ami. Tu l'appelles Père, alors il faut te montrer son enfant. C'est là ce qui convient à l'amour. Raconte-lui tout ce que tu veux : tes jeux de billes, l'ascension d'une montagne, les taquineries de tes camarades, tes colères, tes larmes ou les petits plaisirs d'un instant. Dieu t'aime tant... Il écoute chacun de tes petits mots d'amour. Il accueille chacun de tes sourires, chacun de tes regards... Sois sans crainte et désormais, petit frère, ne sois pas avare de tes histoires avec le Bon Dieu, n'est-ce pas ?
        
    VAN : Mais, petite sœur, Dieu connaît déjà toutes ces choses; qu'est-il encore besoin de les lui raconter ?
        
    THERESE : C'est vrai petit frère. Dieu connaît tout parfaitement. Cependant, pour "donner" l'Amour et "recevoir" l'amour, il doit s'abaisser au niveau d'un homme comme toi; et il le fait comme s'il oubliait qu'il est Dieu et qu'il connaît toute chose, dans l'espoir d'entendre une parole intime jaillir de ton cœur. Dieu agit ainsi parce qu'il t'aime.
    Lorsqu'un papa veut donner un baiser à son petit enfant, il ne peut rester planté là tout droit et exiger paresseusement que le petit se hisse jusqu'à ses lèvres... Pourrait-on appeler ceci un baiser affectueux ? Evidemment, non ! Pour donner un baiser à son petit, le papa doit s'incliner profondément jusqu'à la portée de son visage, ou encore le prendre dans ses bras; dans les deux cas, il doit s'abaisser.


  • Voici une prière qui a été publiée le 29 mai 2014 dans la rubrique : "Bouquet de prière pour l'Eglise et pour le monde" (D17).
         
    Pour que les hommes apprennent à remercier Dieu pour les plus petites choses.
        
    Chère Gospa, quand un homme est très malade et qu’il est allongé sur son lit, immobile, alors il se relève rarement d’un seul coup.
    Généralement, il commence par bouger un doigt, puis une main, puis un bras... Ensuite, un son sort de sa bouche, puis un mot, puis une phrase... Et c’est ainsi que, petit à petit, ses forces lui reviennent et qu’il finit par se rétablir.
    La guérison est généralement un long processus, un processus précédé par une multitude de petits signes, des signes parfois à peine perceptibles.
    Chère Gospa, aujourd’hui nous voudrions te demander de nous aider à remercier Dieu chaque jour pour toutes les grâces qu’il nous envoie, même celles qui nous paraissent les plus petites et les plus insignifiantes.
    En effet, ces grâces sont des signes qu’il est là, qu’il nous aime, qu’il nous relève progressivement, qu’il nous défroisse peu à peu, "pli par pli"... afin qu’un jour nous soyons remplis de la force de l’Esprit Saint et que nous puissions témoigner de son amour.
    Oui, chère Gospa, aide-nous à voir tous les petits signes qui viennent du ciel. Ainsi que tu nous l’as dit à Medjugorje : "Remerciez le Seigneur pour tous les fruits et louez-le. Chers enfants, apprenez à le remercier pour les petites choses, ensuite vous pourrez le remercier pour les grandes" (le 03/10/85).
        
    >Je vous salue Marie...