• Voici un extrait d'un sermon de saint Léonard de Port-Maurice (1676-1751). Cet extrait est tiré du livre de Lionel Marcillaud : "Soyez miséricordieux - pardon et libération" (Salvator, 2014).
       
    Dieu est si bon que, lorsqu'il voit un pécheur courir à sa perte, il court après, l'appelle, le prie et l'accompagne jusqu'aux portes de l'enfer; et que ne fait-il pas, pour le convertir ?
    Il lui envoie de bonnes inspirations, de saintes pensées, et s'il n'en profite pas, il se fâche, il s'indigne, il le poursuit.
    Va-t-il le frapper ? Non : il vise en l'air et lui pardonne.
    Mais le pécheur ne se convertit pas encore : Dieu lui envoie une maladie mortelle. Tout est fini pour lui sans doute. Non, mes frères, Dieu le guérit; le pécheur s'opiniâtre dans le mal, Dieu cherche dans sa miséricorde quelque nouveau moyen; il lui donne encore un an, et, l'année finie, il lui en accorde une autre.

    Mais si malgré tout cela le pécheur veut se jeter en enfer, que fait Dieu ? L'abandonne-t-il ? Non : il le prend par la main; et pendant qu'il a un pied en enfer et l'autre dehors, il le prêche encore, il le supplie de ne pas abuser de ses grâces.


  • Dans sa Newsletter du 24 août 2015, John Pridmore dit des choses extrêmement belles sur l'amour de soi et du prochain. Voici un extrait particulièrement touchant (traduit par mes soins à partir de la version anglaise) :
        
    Je me suis rendu en Ecosse et en Angleterre, j'ai visité la communauté du Cénacle et le sanctuaire de Notre Dame de Walsingham. La communauté du Cénacle a été créée pour les hommes qui souffrent d'addictions.
    J'ai partagé mon histoire et l'un des hommes m'a demandé comment j'avais commencé à cesser de me haïr moi-même. J'ai dit que j'avais commencé à me voir comme Dieu me voyait : sans jugement, ni colère ni condamnation, mais avec miséricorde, amour et compréhension.
        
    Quand j'ai écrit mon premier livre, ma mère ne pouvait pas lire la partie du livre où j'étais si mauvais, où j'étais un gangster à Londres. Mais cela ne lui faisait rien de lire les autres parties, celles où j'essayais de devenir bon et où j'avais trouvé Dieu.
    Puis, elle m'a dit qu'elle avait lu les mauvais passages. Quand je lui ai demandé ce qu'elle en avait pensé, elle a commencé à pleurer puis elle a dit : "J'ai pensé : mon pauvre petit garçon blessé".
    Elle ne me voyait pas comme un monstre mais simplement comme un petit enfant blessé qui faisait tant de mauvais choix. Et j'ai su que c'était là une petite image de la manière dont Dieu nous voit, avec une miséricorde, un amour et une compréhension incroyables, comme son joli petit garçon ou sa jolie petite fille qui a été blessé(e) par le péché et qui a besoin de Dieu pour qu'il le serre et le guérisse grâce à son pardon et à son amour.


  • Ceux qui connaissent et qui consultent le site "Crown of Stars" seront heureux de savoir qu'ils peuvent y trouver un article datant de 2005 dans lequel Bernard Gallagher (le Webmaster) raconte sa propre conversion à Medjugorje, en l'an 2000.
        
    En 1995, après 25 ans de mariage, son épouse Sandra s'est convertie au catholicisme et, en 1998, elle est allée faire un pèlerinage à Medjugorje.
    Là-bas, elle a fait l'expérience du "repos dans l'esprit" lors d'une rencontre avec le Père Jozo. Elle est revenue en Irlande complètement transformée.

        
    Deux ans plus tard, en l'an 2000, Bernard Gallagher s'est rendu dans le sanctuaire à son tour, avec son épouse.
    Le quatrième jour, alors que son groupe priait le Rosaire devant la Croix Bleue, il s'est mis à pleurer sans comprendre pourquoi. Le phénomène a duré dix minutes.

    Depuis, sa vie a complètement changé.
       
    Vous pouvez lire ce très beau témoignage dans son intégralité ici (en anglais) >>


  • Si vous voulez connaître l'impact de certains aliments sur le corps (le riz, par exemple), et si vous souhaitez savoir quels changements d'attitude a entraînés la série télé "Urgence" chez les étudiants en médecine, aux USA, cliquez ici >>


  • Quand nous faisons des efforts de conversion et que, malheureusement, il nous arrive quand même de commettre des péchés (nous sommes tous plus faibles que nous le croyons, finalement !), alors la tentation de nous en vouloir et de nous culpabiliser peut être très grande. Dans un message en date du 10 septembre 85, la Vierge de Medjugorje nous indique quelle attitude il nous faut adopter dans ces cas-là : "Sur le péché il suffit d'un regard sérieux, et aussitôt, va de l'avant et corrige le péché".