• Des choses intéressantes que j'ai entendues dans ma paroisse…

        
        
    Mémoire
    Sainte Claire d'Assise et la Messe du Dimanche des Rameaux du 20 mars 1212 (25/03/24)
    Sainte Claire d'Assise a quitté sa famille pour aller rejoindre saint François et ses compagnons le 20 mars 1212, après la Messe du Dimanche des Rameaux.
    Chaque année, le jour des Rameaux, la famille franciscaine fait mémoire de cet épisode.
    Cette année, au monastère des Clarisses, une sœur a rappelé cet événement à la fin de l'Eucharistie.
    Pour dire que sainte Claire avait quitté sa famille, elle a utilisé une très belle expression. Elle a dit : "Le Dimanche des Rameaux 1212, sainte Claire a donné au monde son acte de divorce".
        
    Homélie
    L'inscription du "droit à l'avortement" dans la Constitution française (09/03/24)
    Récemment, dans une homélie, un prêtre de passage dans ma paroisse a parlé de l'inscription du "droit à l'avortement" dans la Constitution française (cette inscription a été adoptée le 4 mars 2024).
    Il a dit notamment ceci : "Ce qu'il faudrait inscrire dans la Constitution, n'est-ce pas plutôt le droit de naître pour chaque être humain ?"
        
    Homélie
    Le règne de Dieu est tout proche (22/01/24)
    Hier (dimanche 21 janvier 2024), au monastère des Clarisses, un prêtre de la communauté Saint-Martin a commenté cette phrase de Jésus dans l'Evangile du jour : "Les temps sont accomplis : le règne de Dieu est tout proche. Convertissez-vous et croyez à l’Evangile" (cf. Marc 1, 14-20).
    Il a dit notamment que les mots "le règne de Dieu est tout proche" ne faisaient pas uniquement allusion au temps (c'est-à-dire à la venue du temps de l'Incarnation) mais, également, à l'espace. En effet, c'est désormais en nous, à l'intérieur de nous, dans nos cœurs, que Dieu se fait présent. C'est donc là que nous devons le chercher et que nous pouvons le trouver.
        
    Homélie
    Le Saint Nom de Jésus (03/01/24)
    Ce soir, au monastère des Clarisses, un prêtre de la communauté Saint-Martin a parlé du Saint Nom de Jésus (que nous fêtons aujourd'hui) dans son homélie.
    Il a dit notamment que le nom "Emmanuel" (qui signi-fiait "Dieu avec nous") exprimait la cause de l'Incarnation tandis que le nom "Jésus" (qui signifiait "Dieu sauve") exprimait la conséquence de l'Incarnation.
        
    Homélie
    La crèche et le tombeau (28/12/23)
    Récemment, au monastère des Clarisses, un prêtre de la communauté Saint-Martin a fait une très belle homélie dans laquelle il a parlé de la crèche où Jésus est né et du tombeau dans lequel il a été enseveli.
    Il a dit notamment : "Quand les bergers sont arrivés à la crèche pour adorer Jésus, ils ont vu qu'il était emmail-loté, c'est-à-dire qu'il était enveloppé dans un linge (cf. Luc 2, 12). Et quand Pierre et Jean sont arrivés au tombeau après la résurrection du Christ, ils ont vu que les linges qui l'avaient enveloppé étaient posés à plat et que le suaire était roulé à part à sa place (cf. Jean 20, 6-7). L'image de Jésus enveloppé dans un linge, dans la mangeoire, nous rappelle que le Christ est vrai homme. En effet, comme tous les êtres humains (et tout particulièrement les nouveaux-nés), il a eu besoin lui aussi d'être protégé du froid. Et l'image des linges posés à plat et du suaire roulé à part à sa place, dans le tombeau, nous rappelle que Jésus est vrai Dieu. En effet, Dieu seul pouvait ressusciter des morts. Dieu seul pouvait vaincre la mort".
        
    Homélie
    Se préparer à Noël (23/12/23)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre de la communauté Saint-Martin a dit ceci dans son homélie : Pendant l'Avent, tous les gens se préparent à fêter Noël. Le problème, c'est que beaucoup se préparent unique-ment au niveau matériel et non pas au niveau spirituel : ils préparent leur maison, ils préparent les cadeaux, ils préparent la table... mais ils négligent leur âme.
    Pendant l'Avent, chacun doit veiller à ce que sa préparation soit d'abord et avant tout une préparation spirituelle, et non pas uniquement une préparation matérielle.

        
    Homélie
    Les grandes antiennes O (16/12/23)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre de la communauté Saint-Martin nous a dit qu'à partir du 17 décembre (qui marque le début de la Neuvaine de Noël), nous rentrions dans une période que l'on appelle "les grandes O" ou bien "les grandes antiennes O".
    Ces "grandes O" sont en fait des antiennes que l'on chante pendant les Offices et qui commencent toutes par l'exclamation "O". Par ailleurs, elles sont toutes chantées sur la même mélodie et sont toutes construites selon le même plan : une invocation au Messie et un appel ardent à sa venue ("Veni").
    On peut citer par exemple celle-ci : "O Emmanuel, notre Législateur et notre Roi, espérance et salut des nations, viens, Seigneur, viens nous sauver".
    Ces "grandes antiennes O" marquent une montée en puissance de l'attente du Sauveur.
        
    Homélie
    Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers (10/12/23)
    Ce matin, au monastère des Clarisses, un prêtre de la communauté Saint-Martin a fait un très beau commentaire de cette phrase de l'Evangile dans son homélie : "Préparez le chemin du Seigneur, rendez droits ses sentiers" (cf. Marc 1, 1-8).
    Il a dit notamment que "le chemin du Seigneur" était celui qui allait de la crèche jusque dans nos cœurs.
    Il a rappelé également que Jésus avait d'abord été un enfant, en venant dans le monde, et qu'un enfant avait toujours besoin qu'un chemin soit parfaitement lisse et bien dégagé pour pouvoir avancer.
    Si, en travers du chemin, il y a des obstacles, des pierres, des branches, des aspérités... alors l'enfant risque de tomber. Pour que l'Enfant Jésus puisse venir dans nos cœurs, il nous faut donc rendre droits les sentiers du Seigneur.
        
    Homélie
    Un temps de préparation (06/12/23)
    Ce matin, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint-Martin a rappelé que l'Avent était un temps où nous devions nous préparer à accueillir Dieu dans nos cœurs, mais que c'était également un temps où Dieu Lui-même préparait quelque chose.
    En effet, dans la première lecture de ce jour (qui est tirée du Livre d'Isaïe, et qui fait référence à la venue du Sauveur), il nous est dit ceci : "En ce jour-là, le Seigneur de l’univers préparera pour tous les peuples, sur sa montagne, un festin de viandes grasses et de vins capiteux, un festin de viandes succulentes et de vins décantés" (Isaïe 25, 6-10a).
    Ce prêtre a terminé son homélie en disant que l'Avent était donc aussi un temps où nous devions essayer de mieux comprendre que Dieu Lui-même était à l’œuvre dans chacune de nos vies.
        
    Homélie
    Offrir des sacrifices (24/11/23)
    Ce matin, dans ma paroisse, un prêtre de la communauté Saint-Martin a dit ceci dans son homélie : "Avant, dans le Temple de Jérusalem, on offrait des sacrifices. Aujour-d'hui, dans les églises, on offre le sacrifice de la Messe. De même, dans ce "temple de l'Esprit Saint" que nous sommes (cf. 1 Corinthiens 6, 19-20), nous devons nous aussi offrir des sacrifices, des mortifications, des péni-tences... pour pouvoir avancer spirituellement".

        

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  • Des idées pour transformer nos paroisses. A diffuser autour de nous.
         

       

    Citation

    LE PERE MARC NOUS PARLE DU RENOUVELLEMENT DES PAROISSES (17/08/12)

    Voici une petite phrase que le Père Marc (de la communauté des "Apôtres de la Paix") a dite à Medjugorje en été 2012 :

    Le renouvellement de toutes les paroisses trouve sa source à Medjugorje.

        

    Enfance

    METTRE EN PLACE UNE PASTORALE DE L'ENFANT A NAÎTRE

    Voici une info qui est parue dans "Famille Chrétienne" :

    En Belgique, Luc Lannoye (l'auteur du livre "Le tout-petit", 1997, aux éditions Fidélité) est à l'origine d'une cérémonie annuelle de bénédiction des mères enceintes.

    Depuis 1993, une célébration de la Visitation est organisée le lundi de Pentecôte au sanctuaire de Notre Dame de Beauraing. La messe, présidée par l'évêque de Namur, est suivie d'une bénédiction des mamans enceintes.

    Dans le sein maternel, l'enfant est touché par ce qu'il vit (comme Jean Baptiste quand Marie est allée voir Elisabeth). Par cette bénédiction, il reçoit l'amour de Dieu, dont il est marqué. Il est accueilli comme enfant de Dieu, un être à part entière.

        

    Eucharistie

    UNE ASTUCES TRES SIMPLE POUR QUE NOS EUCHARISTIE SOIENT PLUS GAIES

    Une idée de votre serviteur, à découvrir ici >>

      

    Sensibilités

    LES PROGRESSISTES ET LES TRADITIONALISTES : COMMENT CHEMINER VERS LA PAIX ET LA RECONCILIATION

    Un texte de votre serviteur, à découvrir ici >>

      

    Prêtres

    SI ON AIME INTENSEMENT ET SI ON ACCEPTE DE PORTER SA CROIX, ALORS ON PEUT TRANSFORMER UNE PAROISSE !!!

    Un texte de votre serviteur, à découvrir ici >>

        

    Liens :
    Notre mère l'Eglise >>

    Comment faire pour que nos paroisses soient plus papales et plus mariales ? >>


  • Voyant que les jeunes désertent les églises, les diocèses s'interrogent beaucoup sur le rôle des parrains et marraines que ces jeunes ont reçus le jour de leur baptême :

        

    Remplissent-ils toujours leur tâche qui consiste à guider les jeunes sur les traces de Jésus ? Jouent-ils encore ce rôle d'éveilleurs à la foi ? Doit-on refuser à une personne d'être le parrain ou la marraine d'un futur baptisé si cette personne n'est pas engagée dans sa paroisse ? Mais en même temps, comment peut-on forcer les gens à choisir telle personne plutôt que telle autre ? Est-ce chrétien de chercher à "imposer" quelqu'un aux familles ?

          

    Bref, les discussions vont bon train pour essayer de mieux comprendre les choses et de voir comment on peut améliorer l'accompagnement des nouveaux baptisés.

       

    Si vous me le permettez, j'aimerais essayer d'apporter un petit élément de réponse à la question qui consiste à savoir ce qu'est réellement un parrain et une marraine, et ceci en faisant un peu de traduction anglaise.

    Un parrain, en anglais, se dit "Godfather". Une marraine se dit "Godmother". Un filleul se dit "Godson" et une filleule se dit "God-daughter".

      

    Ceux qui connaissent un peu l'anglais l'ont compris: ce qu'est un parrain et une marraine est défini dans la terminologie même qu'utilisent nos amis anglo-saxons.

    Un parrain, c'est un "père par rapport à Dieu". Une marraine, c'est une "mère par rapport à Dieu". Un filleul, c'est un "fils par rapport à Dieu". Une filleule, c'est une "fille par rapport à Dieu".

          

    Autrement dit, le baptême crée entre les hommes des relations spirituelles qui sont aussi fortes que celles que l'on peut retrouver au sein d'une famille. Vous vous rendez compte ?

          

    A partir de là, on sent qu'il est tout à fait fondamental, pour les parrains et marraines, de bien prendre conscience qu'ils ont un rôle absolument déterminant à jouer dans l'éducation d'un baptisé.

        

    Et à ce niveau, on ne peut que se désoler, avec les diocèses, de constater que leur mission - qui est pourtant si belle, si passionnante et si essentielle - est loin d'être toujours remplie !


  • Il faut demander à Dieu la grâce d'aimer la contradiction.


  • Les lieux d'Eglise qui attirent beaucoup de monde et font naître de nombreuses vocations (on peut penser notamment aux communautés nouvelles) ont au moins deux points communs :
    1)-il y a un lien très fort avec le Pape (au niveau théologique, liturgique...). Cela fait naître chez les gens le sentiment qu'il existe une cohérence et une communion intense à l'intérieur de l'Eglise, et ils se sentent comme "aimantés".
    2)-il y a un lien très fort avec la Vierge Marie (on insiste beaucoup sur la prière et la conversion). Cela fait jaillir de nombreuses guérisons (surtout intérieures), et les gens sentent grandir en eux l'envie de prier.
    Oui, le lien avec le Pape et avec la Vierge sont très importants pour que nos paroisses attirent des fidèles et fassent naître des vocations.
          
    Voici quelques suggestions qui ont été faites par des internautes de "Chère Gospa" pour que nos paroisses soient plus "papales" et plus "mariales".
        
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    LES IDEES DES INTERNAUTES 
          
    A)-Ce que les fidèles peuvent faire :
    1-Se consacrer au Sacré Coeur de Jésus et au Coeur Immaculé de Marie (personnellement et en famille)
    2-Faire des groupes de prière
    3-Organiser la récitation du Rosaire
    4-Prier l'Esprit Saint pour qu'Il renouvelle nos paroisses et prier également pour les prêtres
    5-Les parents doivent montrer le bon exemple à leurs enfants
          
    B)-Ce que les mouvements peuvent faire :
    1-Attirer l'attention des jeunes sur l'importance de l'intériorité (notamment dans les aumôneries scolaires) et ne pas insister uniquement sur l'action
          
    C)-Ce que les prêtres peuvent faire :
    1-Organiser des temps d'adoration devant le Saint Sacrement (ainsi que le demande instamment le Pape)
    2-Prendre la ferme résolution de devenir saints par la prière et la conversion
          
    D)-Ce que les curés de paroisses peuvent faire :
    1-Consacrer leur(s) paroisse(s) au Sacré Coeur de Jésus et au Coeur Immaculé de Marie (et inviter chaque paroissien à faire une consécration personnelle et familiale)
    2-Faire appel à des écoles d'évangélisation (comme Jeunesse-lumière) pour des missions paroissiales (c'est-à-dire des temps de formation de plusieurs jours - souvent un week-end ou une semaine - destinés aux prêtres et aux fidèles d'une même paroisse)
          
    E)-Ce que les évêques peuvent faire :
    1-Faire appel à des communautés nouvelles et leur confier : des paroisses, des Centres Diocésains de Formation, des services divers…
    2-Faire en sorte que la formation permanente des prêtres soit fidèles aux enseignements du Pape et de la Vierge (consacrer un temps de formation au Rosaire, par exemple, chaque année)
          
    F)-Ce que le Pape peut faire :
    1-Entamer un réforme des séminaires dans laquelle on remettrait la prière au centre de la formation des prêtres (prière personnelle, Bréviaire, chapelet…)
        
    G)-Ce que la société civile peut faire
    1-
    Ne pas interdire les signes religieux dans les lieux publics