• La lecture suivie du petit livre de Monseigneur Dominique Rey "Peut-on être chrétien et franc-maçon ?" (aux éditions Salvator).
    Des extraits, des résumés, des notes personnelles...
     
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  • Ainsi que nous l'enseigne l'Eglise, Jésus est "vrai homme" et "vrai Dieu". Il y a en lui deux natures : la nature humaine et la nature divine.

        
    Les progressistes.
        

    Dans les milieux progressistes, je trouve que les gens sont très attachés à l'aspect "vrai homme" du Christ.
    En effet, on sent qu'il y a un désir très fort de rejoindre les hommes de ce temps et de leur parler un langage qu'ils puissent comprendre.

    Il y a aussi une volonté très marquée d'ouvrir l'Eglise, d'accueillir tout le monde sans jamais juger personne (les homosexuels, les personnes divorcées et remariées...), et ceci afin que tout le monde puisse trouver sa place et cheminer avec les autres au sein de la grande famille de Dieu.

    C'est là un point extrêmement positif.

       

    Toutefois, on sent aussi, dans les milieux progressistes, que les gens oublient un peu trop facilement l'aspect "vrai Dieu" du Christ.
    En effet, il y a un désir très fort (parfois à peine voilé) de s'affranchir de certaines lois de l'Eglise qui sont perçues comme désuètes ou discriminatoires. C'est ainsi "qu'au nom de l'amour du prochain", on voudrait autoriser le mariage des prêtres, donner aux femmes le droit d'accéder au sacerdoce, permettre la communion des divorcés-remariés, transformer les messes en spectacles...

    C'est là un point très négatif. Les progressistes devraient se rappeler que si Jésus est "vrai homme", il est aussi "vrai Dieu" et que, de ce fait, les règles qu'Il nous donne ne peuvent pas être transgressées au gré des modes et des courants de pensées.

       
    Les traditionalistes.
        

    Dans les milieux traditionalistes, je trouve que l'on rencontre le problème inverse. Les gens sont très attachés à l'aspect "vrai Dieu" du Christ.
    En effet, on sent qu'il y a un désir très fort de coller parfaitement à la tradition de l'Eglise, tant au niveau théologique qu'au niveau liturgique. Par exemple, le respect de la messe et du Saint Sacrement est vraiment très grand (on reçoit la communion dans la bouche, parfois en étant à genoux) et les prêtres manipulent les espèces avec un soin extrême.

    C'est là un point extrêmement positif.

         

    Toutefois, on sent aussi, dans les milieux traditionalistes, que les gens oublient un peu trop facilement l'aspect "vrai homme" du Christ.
    En effet, celui qui ne marche pas dans la droite ligne de l'Eglise est souvent perçu comme un hérétique qu'il faut combattre, ou bien comme un possédé qui va finir un jour en enfer. Souvent, les critiques fusent et la diabolisation du prochain va bon train.

    Les accusations, quand elles vont trop loin, sont toujours très négatives. Les traditionalistes devraient se rappeler que si Jésus est "vrai Dieu", il est aussi "vrai homme" et que, de ce fait, l'amour qu'il porte à tout être humain est très fort et que l'on ne doit pas se servir de la loi pour condamner les autres mais pour les convertir avec patience et avec amour, tout en restant très miséricordieux.

       
    Une prière.
        

    Jésus, les progressistes ont compris que tu étais "vrai homme". Apprends-leur que tu es également "vrai Dieu" de telle sorte que l'amour de tes lois grandisse en eux.
    Jésus, les traditionalistes ont compris que tu étais "vrai Dieu". Apprends-leur que tu es également "vrai homme" de telle sorte que l'amour du prochain et le pardon grandissent en eux.

    Et si besoin est, Jésus, réconcilie également en nous le progressiste et le traditionaliste qui se font la guerre, de telle sorte que la paix règne dans nos cœurs et qu'elle puisse s'étendre à ton Eglise tout entière.


  • Le mercredi de la cinquième semaine de Pâques, à l'Office des Lectures, la Liturgie des Heures nous propose un texte absolument fabuleux. Il s'agit d'une lettre écrite par un auteur inconnu et intitulée : "Lettre à Diognète".
    Si vous voulez lire ce véritable petit bijou, qui est très éclairant sur la place de l'âme dans le corps et celle de l'Eglise dans le monde, cliquez ici >>


  • L'Opus Dei signifie "L'Oeuvre de Dieu", en latin. Pourtant, il semblerait que certaines personnes (comme par exemple Dan Brown dans son livre "Da Vinci Code") cherchent aujourd'hui à donner une image très négative de ce mouvement d'Eglise. Si vous voulez lire ce bon article d'Emma Deverny paru dans le journal "Il est vivant", cliquez ici >>


  • Une solution possible est de lui demander de nous citer une seule religion au monde : -où les gens voient en une femme le plus parfait des êtres créés. -où les gens font des processions et allument des bougies autour d'une statue de cette femme. -où les gens récitent chaque jour une prière dans laquelle il prononcent plus de 150 fois le prénom de cette femme (il s'agit du Rosaire, bien sûr). -où les gens se mettent à genoux devant une statue de cette femme pour implorer des grâces.