• Voici un extrait d'un commentaire du Pape saint Grégoire le Grand (540-604) sur le livre de Job. Cet extrait est tiré du "Livre des Jours" :
        
    Celui qui reçoit des bienfaits, mais qui, à l'époque des bienfaits, ne redoute aucunement l'épreuve, se précipite dans l'orgueil sous l'effet de la joie. Celui qui est broyé par les épreuves mais qui, à l'époque des épreuves, ne trouve aucun réconfort dans les bienfaits qu'il a eu le bonheur de recevoir, voit s'anéantir son équilibre spirituel par un désespoir total. Il faut donc joindre les deux, pour que l'un vienne toujours soutenir l'autre, de telle sorte que le souvenir du bienfait reçu atténue la peine causée par l'épreuve, et que l'éventualité et la crainte de l'épreuve refrène la joie du bienfait. Le saint homme Job, pour calmer son âme écrasée par les coups, doit apprécier, dans les douleurs causées par l'épreuve, la douceur des bienfaits en disant : si nous avons reçu des biens de la main du Seigneur, pourquoi n'en accepterions-nous pas des maux ?


  • Voici le témoignage très court mais particulièrement poignant d'une maman dont la fille de 18 ans s'est laissée entraîner dans l'occultisme. Surtout n'hésitons pas à faire lire ce témoignage à des jeunes qui se sentent eux aussi attirés par tout ce qui touche aux "esprits". Cela les dissuadera sûrement de s'engager sur ce chemin !
    Si vous voulez lire ce message, cliquez ici >>


  • Voici quelques paroles du Pape saint Grégoire le Grand (540-604) qui, c'est certain, vont nous permettre d'approfondir notre réflexion sur la conversion. Ces paroles sont tirées du "Livre des jours" : "On s'écarte radicalement du mal quand, par amour pour Dieu, on a décidé de ne plus jamais pécher. Celui qui fait encore le bien par crainte ne s'est pas entièrement écarté du mal. Car il pèche, du seul fait qu'il voudrait bien pécher, s'il le pouvait impunément".


  • Quand on aime Medjugorje, il est très important de pouvoir rencontrer des personnes qui vivent elles aussi cette spiritualité. En effet, cela permet de libérer totalement la parole, d'être soi même, de partager nos expériences, de nous enrichir mutuellement, de nous dire nos soucis, de parler de l'Eglise, de notre diocèse et de notre paroisse… Ces conversations finissent toujours par réveiller l'espérance, au fond de nous, car elles nous apprennent que nous ne sommes pas seuls. Elles sont donc absolument capitales. Si on ne parle à personne, on risque de diminuer en ferveur et de ne plus avoir vraiment envie de s'intéresser à Medjugorje. Bien évidemment, il n'est pas toujours facile de rencontrer des gens qui vivent les messages de la Gospa. Alors, si vous le voulez bien, je vous propose une série de 10 petits conseils pratiques qui, je l'espère, aideront celles et ceux qui ont du mal à rentrer en contact avec des "amis de Medjugorje".
        
    Si vous voulez lire ce message, cliquez ici >>


  • Parfois, il peut nous arriver de trouver injuste qu'une personne qui est très éloignée de la foi obtienne de grandes grâces (familiales, professionnelles...). Dieu, lui, ne voit pas les choses comme nous. Voici en effet les paroles de Jésus que nous rapporte Maria Valtorta dans "L'Evangile tel qu'il m'a été révélé" (Tome 2, chapitre 53) : Pour les bons, le miracle est une juste récompense. Pour les moins bons, c'est pour les amener à une bonté véritable. Pour les mauvais, aussi parfois, c'est pour les secouer, pour les persuader que j'existe et que Dieu est avec Moi. Le miracle est un don et ce don est pour les bons. Mais Celui qui est Miséricorde et qui voit combien les hommes sont lourds et que seul un événement prodigieux peut les secouer, y recourt aussi pour pouvoir dire : "J'ai tout fait pour vous, et cela n'a servi à rien. Dites-moi donc, vous-mêmes, ce que je dois faire de plus".